Aujourd’hui, nous allons parler de compassion, mes chers frères et sœurs. Par exemple : si quelqu’un veut tuer un de nos proches (un fils, un frère), notre réaction, à ce moment-là, devrait être de défendre le fils qu’ils attaquent, de défendre le frère. En tant que chefs de famille, nous devons savoir réagir. Mais si nous disons : « Non, je ne lèverai l’arme contre personne ! », et si nous disons au bandit qui assassine le fils ou viole la fille : « Je te bénis, mon fils, je te pardonne tous les crimes que Tu es en train de faire » ; avec une telle attitude on pousse la compassion à l’extrême et il est évident qu’on devient complice de ce crime.