Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : La Révolution de la Dialectique
Napoléon aurait succombé contre le Diable. Etre sur le champ de bataille contre d’autres mâles est une chose, la lutte contre soi-même en est une autre.
Satan est un ennemi en or et il est très utile. Le Diable est une échelle pour descendre et c’est aussi une échelle pour monter.
Les Douze Travaux d’Hercule se font avec le Diable. Le pacte avec le Diable est le pari même, et le triomphe est la capacité de fabriquer l’or.
La force électrique est la croix en mouvement ou Svastika, c’est le mouvement continu. L’électricité transcendante qui tourne comme un tourbillon m’a servi pour former le Mouvement Gnostique.
La croix des profanes et des profanateurs n’est pas une Svastika, parce que, la copulation chimique terminée, le mouvement prend fin. Par contre, dans la croix gnostique, le mouvement ne se termine pas parce que l’électricité continue à se transmuter.
La normale, dans le travail sexuel, doit être au minimum une heure.
En Inde, on mesure le degré de culture selon le temps pendant lequel se réalise la copulation chimique ; celui qui tient trois heures est respecté et est un « seigneur ».
La Svastika en mouvement génère l’électricité sexuelle transcendante.
Hitler entendit parler de ces choses et c’est pour cela qu’il prit la Svastika comme symbole de son Parti. « L’Homme aux gants verts » appartenait au clan des Gelugpas. Hitler se laissa manoeuvrer par cet homme et on lui enseigna à tout cristalliser négativement.
Quand Von Litz capitula, à Lhassa, les moines des Gelugpas s’élancèrent dans les rues en célébrant la capitulation de Berlin.
La Seconde Guerre Mondiale fut un duel entre les enseignements de Gurdjieff et ceux des Gelugpas. Ce duel fut importé du Tibet et fut une vraie lutte entre les mages blancs et les mages noirs du Tibet.
Ce chapitre est tiré de La Révolution de la Dialectique (1983) de Samael Aun Weor.