Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : La Révolution de la Dialectique
Nous devons nous rendre de plus en plus conscients du travail que nous réalisons. Il est fondamental de connaître la différence qu’il y a entre le Mouvement Gnostique et toutes les autres organisations qu’il y a ici ou là, pseudo-ésotériques et pseudo-occultistes, etc. Avant tout, nous devons savoir nous situer, nous centrer, si nous voulons comprendre le travail que nous devons réaliser.
Si nous jetons un coup d’oeil général sur les diverses écoles qu’il y a actuellement dans le monde, toutes de type pseudo-ésotérique et pseudo-occultiste, nous arriverons très facilement à découvrir leur origine.
Une fois, il se présenta à Rome le cas d’une nonne qui tombait constamment en transe hypnotique. Elle avait un confesseur et, avec lui, elle dut éclaircir la causa causorum de ces transes fatales. Avant tout, le confesseur réussit à savoir qu’elle avait eu un amant et qu’en dépit du fait qu’elle fût cloîtrée, elle conservait une photographie de l’amant. Le confesseur se la fit apporter et il se rendit compte rapidement que juste en regardant ce visage, elle tombait en transe. Ce confesseur se résolut à consulter un psychologue et ils soumirent cette nonne à des expériences psychiques. On put alors vérifier que ce n’était pas la photographie de cet homme qui la mettait en état de transe, mais quelques pierres très brillantes qu’il y avait sur le cadre de la photo.
Ils continuèrent leurs investigations et on put très vite déduire comme conséquence ou corollaire, que toutes sortes d’objets brillants prédisposent aux états hypnotiques. Il en résulta pratiquement toute une école. On put vérifier que par les états hypnotiques il était possible de modifier d’une certaine façon les états psychologiques des patients et on se résolut finalement à utiliser l’hypnose pour soigner des patients ou soigner des malades.
Ainsi naquirent les fameux médecins hypnotiseurs. C’est alors que firent leur apparition, dans le monde, de nombreux partisans de l’Hypnologie, de la Catalepsie, du Médiumnisme, etc. Il n’est pas superflu de rappeler avec une certaine insistance Richard Charcott, Luis Zea Uribe, César Lombroso, Camille Flammarion, etc.
Dans cette école d’hypnotiseurs se distinguèrent spécialement un anglais, dont je ne me rappelle pas le nom à l’instant précis, et le fameux Charcott. En ce qui concerne le premier, il avait toutes les propriétés du Hanasmussien ; l’autre, le second, il n’y a pas de doute qu’il était le « chouchou de sa mère », je me réfère à Charcott. Ses expériences furent remarquables, mais puisqu’il était le « bébé », l’enfant gâté de la famille, tout ce qu’il faisait était une merveille.
Bien, si je fais mention de tous ces passages grosso modo et de ces expériences de magnétisme, d’hypnologie, de catalepsie, de possession et de cinquante mille autres choses de ce style, c’est dans un seul but : vous faire voir d’où sortirent les diverses écoles pseudo-ésotériques et pseudo-occultistes de cet âge noir du Kali-Yuga.
A l’époque des demoiselles Fox de Mirville, qui réussirent à servir d’instruments pour la matérialisation de la fameuse Cathy King, fantôme qui se matérialisa pendant trois années aux yeux des différents scientifiques du monde entier, en ces jours du temps d’Eusapia Paladino de Naples, pendant lesquels toute l’Europe s’agita avec les phénomènes psychiques, apparut alors le Théosophisme de type oriental.
Et il est clair, vous le savez, tous ceux qui ont visité ces organisations le savent, que dans les dites écoles il y a toujours un mélange de spiritisme et de théories de type hindou. Le Théosophisme ne s’est jamais vu libre du phénomène spirite. Quand nous connaissons l’origine des diverses organisations qui existent actuellement, il ne peut en aucune façon nous sembler étrange que le Théosophisme se trouve mêlé à quelque chose du médiumnisme. Que les théosophes s’effraient du tantrisme est presque normal, parce que ce n’est pas une école de type ésotérique, mais pseudo-occultiste et rien d’autre.
Incontestablement, de cette école d’hypnotiseurs, trouvèrent à se détacher et le firent, comme il est naturel, de nombreuses branches ou organisations, appelons les pseudo-rosicrucisme, pseudo-yogisme, etc. Elles sont si innombrables que nous aurions besoin de consulter un dictionnaire pour connaître le nom de toutes.
Mais allons au fond de la question. Quel est le fondement de telles écoles ?, le Dogme de l’Evolution. D’où sort ce dogme si rebattu ?, d’un certain monsieur Darwin. Il paraît incroyable que monsieur Darwin ait jeté au panier de nombreuses figures éminentes, de nombreux investigateurs ésotéristes, pseudo-ésotéristes et de nombreux aspirants sincères. Mais ce fut ainsi, nous ne pouvons le nier.
La conception, que créèrent sur la réincarnation les institutions pseudo-ésotériques dans le monde occidental, est fausse. Le Seigneur Krishna n’a jamais dit que tous les êtres humains se réincarnaient. Il a dit que seuls les Bouddhas, les Dieux, les Héros solaires ont droit à la réincarnation. Nous autres, nous sommes soumis à la loi de l’Eternel Retour de toutes les choses, c’est clair.
On n’a jamais dit non plus en Orient que tous les êtres humanoïdes possédaient les corps existentiels supérieurs de l’Etre. Mais il fut facile aux écoles de type pseudo-ésotérique et pseudo-occultiste de faire croire à l’humanité que tout le monde possède déjà les dits véhicules supérieurs. Ainsi, ils ne voient aucun inconvénient à traiter le sujet du « Septénaire de l’homme », avec une assurance telle qu’il semblerait que vraiment tous les humanoïdes possèdent cet ensemble de véhicules.
Bon, le résultat de cette espèce de morbidité diffusée dans le monde occidental, de ces écoles de type subjectif, incohérent, vague et imprécis, a été la Personnalité Kalkienne, c’est-à-dire la personnalité propre à cet âge du Kali-Yuga.
Les personnalités Kalkiennes sont irrespectueuses, irrévérencieuses. Ce type de personnalité des écoles pseudo-ésotériques et pseudo-occultistes a perdu non seulement le sentiment de la dévotion authentique et de la vraie religiosité, mais aussi celui de la vénération des Patriarches antiques. Quand l’humanité, qui pouvait être dirigée par des religions vraiment sages, a dégénéré dans ses pédanteries ridicules, elle a créé ainsi la personnalité Kalkienne.
Il convient de savoir comparer une personnalité Kalkienne avec une personnalité authentiquement ésotérique. Quelle est leur différence ?. La personnalité Kalkienne est pleine de pédanterie, embouteillée dans le Dogme de l’Evolution, mal informée sur la constitution interne de l’homme, elle méconnaît les mystères tantriques, elle craint le développement du Serpent igné dans l’épine dorsale et, en outre, le fait d’être bourrée de théories produit en elle une sensation d’autosuffisance.
Incontestablement, la personnalité Kalkienne est victime de l’autotromperie. Elle croit avoir tout trouvé, quand elle n’a rien trouvé, et le pire est qu’elle a perdu le sentiment de vénération, elle a oublié la vraie et authentique religiosité, elle a perdu également l’humilité devant le Logos Créateur. Ceci est la personnalité Kalkienne.
Nous ne pouvons pas suivre le chemin de la personnalité Kalkienne, nous ne pouvons pas accepter les faux dogmes comme ceux de l’Evolution, comme ceux qui consistent à croire que tous les humanoïdes sont des Hommes Parfaits, complets, avec les corps existentiels déjà formés ; comme ceux de la peur du Serpent igné de nos pouvoirs magiques et de l’expérience vécue, etc. Nous préférons plutôt suivre le chemin de la Sagesse authentique, le sentier des Tantras, celui de la dissolution de l’ego et de la reconnaissance de notre propre misère et incapacité. Nous préférons reconnaître que nous ne sommes rien, que nous ne sommes que de misérables vers de la boue. Nous nous préoccupons, ça oui, de travailler en nous-mêmes, sur nous-mêmes. Nous voulons la dissolution de notre moi-même, du soi-même.
Nous utilisons le pouvoir intelligent de l’Energie Créatrice. Nous travaillons dans la Forge des Cyclopes qui effraie tant les pseudo-ésotéristes et pseudo-occultistes. Car nous sommes sur un chemin différent, distinct, révolutionnaire à cent pour cent et qui a sans doute une antiquité incroyable, qui se perd dans la nuit insupportable de tous les âges.
Les caractéristiques de la personnalité Kalkienne ne peuvent certainement pas être confondues. Avant tout, l’autosuffisance, le terrible orgueil et l’horrible vanité basée sur les théories. Nous voyons, par exemple, dans les écoles de psychanalyse, parapsychologie, etc., qu’un orgueil et une autosuffisance terribles contraignent ces gens à de vraies personnalités Kalkiennes. Celles-ci se remarquent non seulement à l’intérieur de certains groupes, mais encore elles apparaissent à la télévision, à la radio, figurent dans la presse, et le monde est complètement envenimé par un type de vibrations qu’en ésotérisme on nomme vénénoskiriennes.
Elles ont une autosuffisance complète, regardent avec dédain les gens du Moyen-Age, se croient super-autocivilisées, croient qu’elles sont arrivées au nec plus ultra de la sagesse. Leur orgueil est tel qu’elles pensent conquérir l’Infini, l’Espace extérieur, elles rient de ce qu’elles considèrent être des superstitions des sages médiévaux, voilà le type de la personnalité Kalkienne.
Et comment leur faire comprendre, à ces personnalités Kalkiennes, qu’elles font fausse route ?.
Il ne suffirait pas simplement qu’elles le nient, n’est-ce pas ?. Puisque ces personnalités Kalkiennes manient la raison et que celle-ci est leur arme de combat, leur petit cheval de bataille, il faut les amener à comprendre ce qu’est le processus du raisonnement.
Il faut leur faire savoir à ces gens autosuffisants et orgueilleux, qu’Emmanuel Kant, le philosophe de Koenigsberg, le grand penseur allemand, a écrit une oeuvre intitulée La Critique de la Raison Pure, comme il a écrit aussi La Critique de la Raison Pratique.
Si nous étudions Emmanuel Kant, nous verrons comment il fait pour nous déchiffrer, non seulement dans ses prosyllogismes, episyllogismes et syllogismes, mais encore dans la façon dont il analyse les concepts de contenu dans La Critique de la Raison Pure.
Il est clair qu’au moyen des perceptions sensorielles externes nous informons le mental, alors, il élabore ses concepts de contenu, basés précisément, sur les appareils nustiques sensoriels. De ce point de vue, la raison ne pourrait rien savoir qui n’appartiendrait pas au monde des cinq sens, puisque les concepts de contenu s’élaborent uniquement avec l’appareil sensoriel, et pour cette raison, elle n’est circonscrite par rien d’autre que par les données apportées par les sens. Pourtant, que peut savoir la raison subjective sur les intuitions ?, et sur les idées à priori ?, et sur ce qui échappe aux concepts de contenu basés uniquement sur les perceptions sensorielles externes ?, rien !, n’est-ce pas ?.
Il existe un autre type de raison que la personnalité Kalkienne méconnaît absolument, je veux me référer instamment à la raison objective. Evidemment, elle a pour base les données de la conscience et c’est avec de telles données qu’elle fonctionne.
En ésotérisme authentique, on appelle la conscience Zoostat.
La raison objective se trouvait développée avant que surgisse l’époque gréco-romaine. Les Aryens primitifs de la première sous-race de la grande race Aryenne qui fleurit en Asie Centrale l’eurent développée. Les gens de la seconde sous-race avant la période des Rishis solaires la possédèrent. Les Egyptiens des antiques Dynasties des pharaons l’utilisèrent également, les Babyloniens, les sages de l’Afghanistan, du Turkestan, de l’Irak aussi et elle vint à finir, pratiquement, avec le raisonnement grec.
Ce furent les Grecs, qui, en commençant à jouer avec la parole, finirent par établir le raisonnement subjectif, basé sur les perceptions sensorielles externes, en asphyxiant la raison objective, en l’éliminant de la face de la Terre. Depuis lors, l’humanité possède uniquement le raisonnement subjectif, les perceptions sensorielles externes, les données apportées par les sens.
Les concepts de contenu sont basés sur les appareils sensoriels, etc., et la raison subjective ne peut rien savoir de ce qui échappe aux facteurs précédemment mentionnés. La raison subjective sensualiste ne peut rien savoir sur le réel, le divin, les mystères de la vie et de la mort, etc. Elle est complètement ignorante de tout ce qui échappe à son cercle d’action que sont les cinq sens déficients.
Incontestablement existent les pouvoirs du coeur, dont les qualités sont bien au-delà de l’intellect et de son processus purement rationnel, et dont la raison subjective sensualiste ne connaît ni ne sait rien.
Sur la terre sacrée des Veda existe un vieux manuscrit qui dit ceci : « Celui qui méditera au centre du coeur obtiendra le contrôle sur le tattva Vayu, le principe éthérique de l’air et il obtiendra également les Siddhis (les pouvoirs des saints) ».
Il me revient justement à la mémoire le cas de José de Copertino, on dit qu’il s’éleva dans les airs soixante fois, et ce fait magique, qui arriva en 1650, fut le motif pour lequel il fut canonisé. Il est indubitable qu’il avait le centre du coeur développé. Un cardinal qui l’interrogea lui dit : bon, pourquoi au moment où vous allez vous élever en étant en oraison, poussez-vous une clameur ?. Alors, il répondit : la poudre, quand elle s’enflamme dans l’arquebuse, explose avec un grand bruit, la même chose arrive au coeur enflammé par le Divin Amour.
C’est ainsi que de façon pratique, José de Copertino a donné la clé des états de Djinns. Le coeur est ce qu’il faut développer pour pouvoir atteindre les états Djinns.
L’extraordinaire Sainte-Christine était constamment en lévitation. Une fois morte, on croyait qu’elle était morte, on alla l’enterrer et soudain, de l’intérieur du cercueil, elle s’éleva en flottant jusqu’au clocher de l’église.
Nous pourrions continuer en citant d’innombrables cas. Un cas certain, celui de François d’Assises : le bon frère qui s’occupait de lui lui apporta le dîner et le moine était déjà en lévitation, en oraison, il flottait dans l’atmosphère. Quelques fois, le bon frère n’arrivait pas à lui donner des aliments parce qu’il ne l’atteignait pas, car François d’Assises était très haut, à tel point que parfois il se perdait dans un bois qui était près de là.
Tous ces mystiques avaient développé le centre du coeur. Sans avoir développé ce centre, on ne peut pas acquérir d’habileté dans les états de Djinns.
En général, celui qui a développé l’intellect souffre beaucoup pour obtenir les états de Djinns, parce qu’il a bien développé l’intellect, mais aux dépens des forces du coeur, en suçant les forces du cardia, il perd les pouvoirs du cardia, ou pour mieux dire : il échange les pouvoirs du cardia contre ceux de l’intellect.
Il serait mieux de ne pas être intellectuel mais d’avoir les pouvoirs du cardia, n’est-ce pas ?. Mais les instructeurs ne doivent pas se préoccuper de cela, le coeur peut se développer à nouveau en cultivant l’émotion supérieure, la musique avancée des grands Maîtres, la méditation. En se faisant plus mystiques, plus profondément dévots, le coeur va se développer à nouveau, c’est très intéressant.
En outre, nous devons arriver à savoir, mes chers frères, à comprendre, que l’être humain est divisé en deux consciences, la vraie et la fausse.
Quand quelqu’un vient dans ce monde, il porte dans l’Essence, déposées par la nature, toutes les données dont il a besoin pour l’Auto-Réalisation intime de l’Etre, mais qu’arrive-t-il ?. Il est mis dans des petites écoles, il reçoit une fausse éducation qui ne sert à rien et de nombreux conseils et préceptes. A la fin, il crée au total une fausse conscience, et la vraie conscience, où sont déposées les données dont il a besoin pour suivre la piste, pour suivre le chemin, pour arriver à la Libération de l’Etre, reste là dans le fond et cataloguée tristement sous le nom de subconscient, a-t-on déjà vu une chose plus absurde !.
Nous devons être sincères avec nous-mêmes, reconnaître que cette fausse conscience qu’on nous a créée en nous fut faite avec toutes les théories, avec tout ce que nous avons appris en Primaire, Secondaire, Préparatoire etc., et tant d’autres ; avec les exemples de nos aînés, avec les préjugés de la société où nous vivons, donc ce n’est pas la vraie conscience.
Nous devons éliminer ce que nous avons de faux, cette conscience fausse, qui est fondée sur ce qu’on nous a dit, sur les préceptes de l’école, sur les leçons de la prép., etc. Eliminer complètement, supprimer définitivement cette fausse conscience pour qu’il ne reste en nous que la vraie conscience, la Conscience superlative de l’Etre, c’est cela qui compte.
Voyez comment ces psychanalystes modernes, ces fameux psychiatres, psychologues, parapsychologues, partisans des hypnologues et autres, s’efforcent chaque fois plus d’étouffer la vraie conscience de l’Etre, pour la supprimer, pour l’éliminer. Ils veulent par tous les moyens renforcer encore plus, de plus en plus, cette conscience fausse que nous possédons.
Mesmer fut un homme merveilleux, il pressentit qu’il existait une double conscience dans les êtres humains et il se proposa de l’étudier. En se rendant compte qu’il y avait une conscience fausse et qu’il existait une conscience légitime réelle, qui était archivée au fond, disons, sous-estimée, il commença à faire des expériences de magnétisme très contraires à l’hypnologie !, bien sûr.
Pauvre Mesmer, beaucoup le ridiculisèrent à son époque et on continue encore à le ridiculiser. Contre lui s’éleva la critique et on le critique encore actuellement. De nombreux textes d’hypnologie commencent en parlant contre Mesmer, les hypnotiseurs le haïssent parce que, précisément, il s’est prononcé contre cette conscience fausse, il a découvert qu’il existe une double conscience : la fausse et la vraie. Mesmer vint à démasquer la conscience fausse devant le verdict solennel de l’opinion publique et il est clair qu’on le malmena presque, c’est la crue réalité des faits.
Bon, ne dévions pas trop du sujet ; ce que je veux dire, c’est que le développement intérieur s’obtient seulement en essayant de mettre à la poubelle la conscience fausse et d’être attentif à la vraie conscience, à la conscience authentique.
Qu’entend-on par conscience fausse ?. Celle qu’on nous a créée depuis que nous sommes nés, celle qui s’est faite avec les exemples, avec les préceptes de tous nos familiers, celle qu’on nous a créée à l’école dans le Secondaire, etc., celle qui s’est formée avec tous les préjugés sociaux passés et à venir.
Tout ceci, il faut le mettre au fond de la poubelle et faire flotter la vraie conscience pour travailler. Ceci montre qu’il faut se convertir en enfant pour travailler, devenir un enfant, un tout petit, au moment de travailler, dépourvu de théories et mettant en jeu la vraie Sagesse.
Ainsi, j’ai réalisé ce chapitre dans le but de centrer notre attention, pour que nous reconnaissions la situation dans laquelle nous sommes en ce monde, pour que nous comprenions que nous n’allons pas sur le chemin de toutes les petites écoles, sectes et ordres, que crée la personnalité Kalkienne, que nous sommes différents, c’est tout.
Ce chapitre est tiré de La Révolution de la Dialectique (1983) de Samael Aun Weor.