Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Conférences de Samael Aun Weor
« Et il y eut un jour où les Beni HaElohim בני האלהים vinrent se présenter devant Iod-Havah יהוה, et HaShatan השטן vint aussi parmi eux. Et Iod-Havah יהוה dit à HaShatan השטן, d’où viens-tu? Alors HaShatan השטן répondit à Iod-Havah יהוה, et dit: D’aller et venir dans (Mitzrimah מצרימה) la terre, et de monter (à Mi מי) et descendre (à Mah מה) en elle. » – Job 1 : 6, 7
Le moment est venu de comprendre que nous dépendons réellement de forces internes. Évidemment, ces forces se divisent de manière antithétique ; qui est à l’origine du combat entre les puissances de la lumière et les puissances des ténèbres. L’objectif de cette conférence est d’étudier la dualité de tout ce qui existe.
Vraiment, frères et sœurs, il y a des plantes qui guérissent et des plantes qui tuent. Par exemple : l’aconit est toxique, il tue, mais à dose infinitésimale il est utilisé en thérapeutique. Le venin de cobra tue, mais à des doses infinitésimales, il a été testé contre le cancer. Le venin du serpent à sonnette tue, mais la viande de cette vipère guérit radicalement le cancer, même au dernier degré. La tête et les hochets ne sont pas utilisés, et une capsule est prise toutes les demi-heures ou toutes les heures. Alors, voyez la dualité de toutes les forces.
Sortir du corps à volonté dans les voyages astraux est extraordinaire, car on peut directement connaître les mystères de la vie et de la mort. Cependant, dans le monde astral, nous trouvons également la dualité. Dans votre enfance, vous avez entendu des histoires de sorcières qui semblent ridicules, mais la réalité, même si cela ressemble à une blague, est que les sorcières sont réelles. Il y a certainement des gens, surtout dans ces domaines, qui savent se projeter à volonté dans le monde astral sans avoir étudié ; malheureusement, ces personnes se sont polarisées négativement et ont abusé de cette faculté de projection astrale. Ces sorcières sont des personnes [polarisées négativement] qui savent se projeter dans le monde astral.
Voyez, les chelas चेल [disciples] de la Loge Blanche, ce sont des gens qui savent aussi se projeter dans le monde astral. Les gens qui sont sur le chemin de la lumière, les chelas, les initiés d’Agartha, de Shamballa, se projettent aussi dans le monde astral ; tout lama sait se projeter dans le monde astral. Lobsang Rampa savait se projeter dans le monde astral ; mais comme tout dans la vie, il y a deux pôles, aussi les sorcières et leurs maris, qui s’appellent drones, savent aussi se projeter dans le monde astral, alors, voyez cette dualité de la vie.
Quand on lit Richard Wagner, le drame Wagnérien, son Parsifal, on ne cesse de se sentir un peu fasciné par ce Château de Montsalvat où se trouve le célèbre Temple du Saint Graal ; mais il y a là une antithèse mentionnée par le dramaturge, je veux me référer emphatiquement au Château de Klingsor, le magicien noir. Alors, voyez comme c’est intrigant, deux châteaux, l’un de la Magie Blanche, où se trouve le calice, le Graal où le Christ a bu le dernier souper ; l’autre, le château de Magie Noire, où se trouve le graal noir de l’horrible personnage de gauche ténébreux nommé Klingsor.
Mais, ce que beaucoup de gens remettent en question et ont peut-être considéré comme le fantasme de Wagner a une réalité formidable, car les deux châteaux existent vraiment en Espagne. Le Montserrat transcendant où se trouve le Saint Graal existe réellement, c’est un château qui est en état Djinn, c’est un château en Espagne, mais ce n’est pas le seul. Avant que l’Espagne ne se manifeste telle qu’elle est, à l’époque où l’Atlantide était récemment submergée, il y avait en Espagne de nombreux châteaux habités par de grands maîtres de la Loge Blanche, survivants Atlantes de ce vieux continent submergé, et ce château de Montsalvat vient de ceux temps des Atlantes, parce que l’Espagne n’appartient pas à l’Europe. L’Espagne est un morceau de l’Atlantide qui ne s’est pas submergé, des terres qui ont émergé lui ont été ajoutées. L’Espagne n’est pas européenne, elle est atlante.
Eh bien, le Château de Montsalvat vient de l’Atlantide, où le Saint Graal a certainement été déposé, c’est une réalité formidable.
Ce Graal existe. Abraham l’a utilisé, et avant lui c’était au pouvoir de Melchisédek, roi de Salem, notre génie planétaire.
La Terre a aussi son génie planétaire qui n’est autre que Melchisédek. Melchisédek est un homme de chair et de sang qui existe, qui vit comme un homme, c’est un humain complet, comme Dieu, c’est le génie de la Terre. Il vit normalement en Agartha, dans la région souterraine. Il y a des portes secrètes pour entrer dans Agartha. C’est une région qui est à l’intérieur de la Terre, il y a des mers, des montagnes, il y a une confrérie divine, peuplée d’habitants de la Lémurie et de l’Atlantide. Melchisédek vit normalement en Agartha. Il a fait de terribles prophéties. À une occasion, il a pu se rendre visible au milieu du Tibet. Il a fait une série de prophéties qui se sont réalisées. Des guerres sont prophétisées, des tremblements de terre, jusqu’à finalement une collision de planètes. Melchisédek l’a déjà prophétisé. Il vit, et il avait le calice, et il l’a donné à Abraham.
Au fil des siècles, le Graal est passé d’initié à initié jusqu’à ce qu’il se retrouve dans le Temple de Salomon. Jésus avait aussi le Graal en son pouvoir et il en a bu le vin de la dernière Cène. Joseph d’Arimathie, dans ce calice, recueillit le sang du Rédempteur du monde, au pied du Golgotha, sur le Mont des Crânes. Oui, Joseph d’Arimathie a rempli le Graal du sang royal de Jésus dans le sens le plus complet du terme.
Bien plus tard, vous savez déjà que la police Romaine est arrivée à la recherche d’un tel calice, mais il n’a pas voulu remettre le graal. Joseph d’Arimathie a également caché la lance avec laquelle Longin a blessé le côté du Seigneur. Alors, parce qu’il ne voulait pas remettre le calice, il a été enfermé en prison pendant 40 ans et quand il est sorti, il a déterré le calice et la lance, car il les avait entreposés sous terre et avec ces joyaux vénérés, il est allé à Rome, alors la persécution a commencé contre les Chrétiens.
Il continua à travers la Méditerranée et une nuit dans un rêve un ange lui apparut, lui dit : « Ce calice a un grand pouvoir magnétique, car le sang du Rédempteur du monde y est contenu, enterre-le là ».
Ainsi, l’ange lui montra le temple de Montserrat, dans le transcendant Château de Montsalvat. Joseph d’Arimathie y est arrivé et a enterré ces joyaux, la tradition dit qu’au fil du temps ce temple est devenu invisible, c’est-à-dire qu’il est entré en état Djinn, invisible aux mortels.
Au Moyen Âge, de nombreux chevaliers cherchaient le calice et la lance, surtout au temps des croisades, mais il n’était pas possible de trouver ni le calice ni la lance. Comme souvenir de ces temps et de la recherche, celui de la coupe des champions qui est donnée aux Olympiens est conservé.
De toute évidence, le calice et la lance ont une signification énorme. Le calice symbolise quelque chose que les gens voient avec morbidité, mais qui est très sacré, je veux dire la yoni féminine. Quant à la lance, il est évident qu’elle représente le phallus masculin. Dans le calice et la lance se cache la clé de tout pouvoir.
Mais regardez la loi des antithèses, la dualité ; à droite se trouve le château du Graal noir, le château de gauche de tous les Couvents, ce château de Klingsor. Quiconque lit ces passages du drame Wagnérien croirait que le château de Klingsor était une simple fantaisie, mais ce n’est pas le cas, le château a une réalité formidable, ce château existe vraiment et par la loi des antithèses il est analogue à celui de Montserrat. Il a un rez-de-chaussée, un étage supérieur, il a de beaux jardins, une magnifique bibliothèque où étudient de nombreux savants, un escalier en colimaçon qui mène à la salle de sorcellerie où Klingsor travaillait avec tous ses instruments de nécromancie ; il est fascinant de voir ces tapis du XVIIIe siècle, ces magnifiques et terribles miroirs en cristal de roche, cette lampe centrale sur la table ronde ; mais, ce n’est pas la table ronde du roi Arthur et de ses chevaliers, non ! C’est la table ronde de la sorcellerie. Voyez les antithèses ! Regardez comment ils jouent partout.
A la porte de cette salle ne se trouve pas le Saint Graal, non, il y a son antithèse, et c’est le chaudron de cuivre ou chaudron qui représente le graal noir. Si le calice d’argent auquel a bu le Sauveur bien-aimé du monde est le sumum de toutes les chastetés, l’emblème de toutes les perfections, alors le graal noir, le chaudron, son antithèse, est le symbole de toutes les prostitutions, le symbole de toutes les nécromancies, symbole de toutes les formes de magie noire, symbolisait toutes les formes de tantra noir.
Comme tous ces antipodes sont notoires ! Il vaut donc la peine de les connaître.
Quant à la lance, celle qui a blessé le bien-aimé ainsi que guéri le roi Anfortas, il ne faut pas ignorer la lance de tous les champs magiques, la lance de la sorcellerie et de la nécromancie, c’est le même pouvoir phallique mais sinistrement utilisé dans les Couvents ténébreuses. Avec raison, on dit en Franc-maçonnerie qu’entre le sublime et le ridicule il n’y a qu’un pas, et c’est axiomatique ; avec les temples de lumière les plus resplendissants, il y a aussi les zones de ténèbres les plus horribles.
Si les chelas de la Loge Blanche progressent de degré en degré, si à force d’efforts n’importe quel lanú fait ses avances, les chelas de la Loge Noire progressent aussi de degré en degré, mais ils régressent dans le temps.
Dans la Loge Blanche, il y a des vêtements symboliques. Par exemple, le chela qui a réussi les épreuves de la terre, de l’air, de l’eau, met une cape courte sur les épaules. L’initié de la cinquième initiation des Mystères Mineurs aura un petit manteau qui lui arrive jusqu’aux coudes. Un initié de la sixième initiation des Mystères Mineurs aura un manteau qui atteint la hauteur du nombril. Un initié de la septième initiation aura un manteau qui descend jusqu’aux mollets. A la neuvième initiation, on aura un manteau qui traînera par terre. Les robes, par exemple, dans la Loge Blanche, ils utilisent le manteau de distinction qui va de la tête aux pieds, qui est utilisé par les adeptes de la Loge Blanche, il est très difficile de réaliser un tel manteau. Les habitants du Nirvana portent le Manteau de Diamant, ce sont les vêtements des Dharmakayas, mais il y a des nirvanis qui portent des manteau de diamant court et d’autre long jusqu’au pieds, ceux sont ceux qui ont atteint le degré de Kumaras.
Aussi dans la Loge Noire, il y a des vêtements symboliques et vous verrez qu’au château de Klingsor, ils portent de petits manteaux, des vêtements. Les sorcières et sorciers sont très espiègles, sarcastiques, elles montent cet escalier en colimaçon jusqu’à ce qu’ils atteignent leur ténébreux sanctuaire, mais au fur et à mesure qu’ils progressent, ils allongent leurs tuniques ; quand ils sont très expérimentées, ils portent une longue tunique. Leurs tuniques n’affichent pas les couleurs qui appartiennent à la gamme ultraviolette, mais l’infrarouge. Les grands hiérarques de la Loge Noire portent des robes avec des dragons rouges et noirs, etc.
Il existe aussi des Djinns blancs et noirs. Montserrat, Chapultepec, partout il y a des temples de la Loge Blanche en état de Djinns, il y en a aussi des noirs, qui font des merveilles. Il y a des sorciers et sorcières célèbres qui ont mis leur corps dans la quatrième dimension. Les scientifiques nieront que le corps physique puisse recevoir une forme différente d’oiseau, de chien ; le scientifique ne nous croirait pas, la réalité est que c’est vrai.
La salle de sorcellerie se trouve à Salamanque, en Espagne.
Je vous parle pour que vous appreniez à équilibrer ce qui est lumière et ce qui est ténèbres. Il y a des sorciers et sorcières et ils savent mettre leur corps dans la quatrième dimension, et ils ont une fausse doctrine, ils disent que le noir est blanc et le blanc est noir et ils ont une logique, la logique de l’Abîme.
Pour retirer son baptême, le sorcier invoque un serpent (le Kundabuffer) et lui lèche la colonne vertébrale de haut en bas pour développer le Kundabuffer, et l’aspirant féminin ou masculin reçoit l’ordre de sauter dans une rivière aux eaux cristallines ; quand ils sortent de là, ils se transforment en vautours volant dans les airs. C’est ce qu’une sorcière m’a dit. Elle n’y est pas allée parce que seules les personnes de position sociale y allaient.
Tout a un but : pour connaître, il faut tout connaître.
Il y a aussi d’extraordinaires Djinns blancs. Souvenez-vous de Jésus marchant sur les eaux de la mer de Galilée. Pierre, quand il l’a vu marcher sur les eaux, a aussi sauté sur l’eau, il marchait très bien, soudain il a douté et a coulé, puis il a parlé au Maître Jésus :
« Et aussitôt Jésus étendit la main, le saisit et lui dit : Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ? » – Matthieu 14 : 31
Avec cela, Jésus lui a donné la clé des états Djinns.
Un cas de Djinn noir était Simon le Magicien. Le maître l’a connu ainsi que son disciple Ménandre, qui a atteint le sommet de la science Romane. J’ai vu Simon le Magicien sur les routes de la vieille Rome, levant son index et pointant vers le ciel, il dit :
« Je vous parle en métaphores, mais vous devez comprendre ce que je dis… Il y a deux Stocks de tous les Aéons réunis, n’ayant ni commencement ni fin, jaillissant d’une Racine, celle qui est le pouvoir infini, le silence invisible ; desquels Stocks, l’un se montre d’en haut, celui qui est une Grande Puissance, compréhension du Tout, pénétrant toutes choses, et du sexe masculin. L’autre se montrant d’en bas, est le Grand Esprit, et est du sexe féminin ; générant toutes choses. La résolution de tous les problèmes est dans l’union des deux. Le pouvoir lui-même est à la fois masculin et féminin. » —La Prédication de Simon le Magicien
Simon le Magicien était terrible. Il a mis son corps en état Djinn et a défié Pierre, qui a également mis son corps en état Djinn. Simon le Magicien a aussi survolé les têtes des gens de Rome, bien sûr, quand Pierre, disciple de Jésus, l’a vu faire tout cela, il l’a conjuré au nom du Dieu Vivant et lui a fait perdre l’équilibre. Il est tombé. On dit qu’il s’est cassé les jambes.
Je suis allé investiguer sur Simon le Magicien une nuit, dans le but de travailler avec la loi du karma. Appliquant la loi à une certaine ville, je suis allé là-bas, à la périphérie de Rome, j’ai invoqué Simon le Magicien et finalement il a répondu par télépathie et a dit : « Appelle-moi au nom de Simon Pierre », parce que je l’ai appelé au nom du Christ. Simon Pierre et Simon le Magicien sont les deux antithèses.
Alors, je suis entré dans un grand manoir, j’y ai rencontré Simon le Magicien habillé comme n’importe quel Samaritain, entouré de ses disciples. Il y avait aussi le célèbre Ménandre, qui a atteint le sommet des sciences magiques. J’ai fini de vérifier que tous les deux étaient des magiciens noirs et pour finir de le vérifier j’ai prononcé et dit : « Salut au Christ, à bas Yahveh ! » Le mauvais génie, furieux, m’a attaqué. Ce qui est intéressant, c’est qu’il m’a attaqué exactement là où se trouve l’œil télépathique, le plexus solaire. Je n’avais pas d’autre choix que de dégainer l’épée flamboyante.
Simon Pierre Djinn blanc et Simon le Magicien, Djinn noir, une paire d’antithèses, les deux Djinn… et ainsi la loi des analogies constantes existe dans tout ce qui est, dans tout ce qui a été et dans tout ce qui sera.
Les carreaux noirs et blancs [comme sur le sol ou un échiquier] symbolisent le positif et le négatif. Quand on essaie de monter, il faut d’abord descendre. Nous tous qui avons travaillé dans ces régions [supérieures] sommes descendus dans les mondes infernaux [pour les nettoyer]. Tous ceux d’entre nous qui ont travaillé dans les sphères de la Lune, de Mercure, de Vénus, de Mars, de Jupiter, de Saturne, d’Uranus et de Neptune savent ce que c’est que de descendre, de descendre dans ces régions.
Nous devons tous éliminer les éléments subjectifs que nous avons bien vivants dans ces régions submergées. Pour les éliminer, nous devons descendre là où ils se trouvent et vivre avec les ténébreux.
Tous ceux d’entre nous qui sont montés à l’Empyrée ont dû travailler dans des régions submergées, travailler avec des êtres terriblement mauvais et apprendre à vivre avec eux, en se comportant bien afin d’éliminer ce qui est en nous qui appartient à ces régions.
Le fameux Graal noir existe bien, et le temple dont Wagner nous parlait dans Parsifal est en nous ici et maintenant.
Je me souviens encore d’une aide supplémentaire que l’Ange Adonaï m’a donnée pour éliminer certains éléments subjectifs obscurs qui restaient en moi ; cette aide supplémentaire m’a été donnée dans le travail qui appartenait à Neptune. J’ai été emmenée dans ce but au château du graal noir, j’ai donc dû affronter des sorciers Allemands, Chinois, Mexicains, américains. Ils y vont pour se réunir dans ce château. Ils préparaient une table pour le grand banquet. J’ai tiré mon épée plusieurs fois.
Adonaï, l’ange de lumière et de joie, m’accompagnait. Alors qu’ils préparaient la table pour célébrer la fête macabre, j’ai fait un acte de rébellion contre la Loge Noire, dans le but de réduire en cendres tout ce château des ténèbres. Il est clair que j’ai tiré l’épée et l’ai utilisée avec une grande force, plusieurs fois j’ai plongé l’épée dans la poitrine de ces sorciers ténébreux.
Comme cette épée lance des flammes enflammées, j’ai fait des efforts suprêmes pour émaner du feu, réduire ce château en cendres, mais chose rare je n’ai réussi à exhaler que de légères flammes, étrange car l’épée ne lance des flammes, malgré les efforts, que de petites flammes. Adonaï m’a regardé et j’ai fait de tels efforts que je suis tombé dans un état de délire, d’ivresse, d’efforts désespérés…
Méphistophélès, le Bon Diable, qui n’est que l’ombre même du Troisième Logos, est un coach, c’est le meilleur des amis, celui qui nous rend forts dans la vertu. La réalité est que chacun de vous a sa Mère (Adonia) Kundalini et tout comme elle est une partie séparable de Binah, de même Méphistophélès, qui est un magnifique entraîneur, celui qui nous rend forts dans la victoire (Netzach נצח). Goethe a écrit que Dieu dit à Méphistophélès :
« Ici aussi, tu es libre d’agir sans contrôle ; Je n’ai jamais nourri de haine pour un tel que toi. De tous les esprits qui nient, c’est le moqueur qui m’ennuie le moins. » – Faust de Goethe
« Les élucubrations de ces grands voyants de l’astral qu’on appelait alchimistes, kabbalistes, occultistes, etc., n’ont pas été vaines. Ce que nous avons vu alors à l’intérieur de ce repaire était certainement affreux…
J’ai dégainé plusieurs fois mon épée flamboyante afin de jeter des flammes sur cette demeure fatale du nécromancien Klingsor…
De manière inattendue, Adonai et moi nous sommes approchés de quelques calchonas qui dressaient la table pour le festin…
En vain je passai mon épée dans la poitrine d’une de ces sorcières ; elle est restée infranchissable. Incontestablement, elle s’est éveillée dans le mal et pour le mal…
Il est clair que je voulais faire tomber le feu comme une pluie du ciel sur cette horrible forteresse…
j’ai fait des efforts suprêmes ; Je me suis senti consterné, et à ces instants l’Ange Adonaï s’est approché des fenêtres de mes yeux pour voir ce qui se passait à l’intérieur de moi…
Imaginez un instant toute personne se tenant devant la fenêtre d’une maison, afin d’observer à travers la vitre pour voir ce qui se passe à l’intérieur…
Il est clair que les yeux sont les fenêtres de l’âme, et les anges du ciel peuvent voir à travers ces cristaux pour voir ce qui se passe à l’intérieur de chacun de nous…
Après avoir fait cette observation singulière, Adonaï se retira avec satisfaction. Mon propre château intérieur, la demeure de Klingsor, avait été incinéré au feu intime…
Chacun de nous porte à l’intérieur une forteresse de sabbaths des sorcières de gauche. Cela n’est pas ignoré par les mahatmas…
Plus tard, j’ai dû témoigner clairement de l’aspect ténébreux de l’existence. Il est clair que Satan a le pouvoir d’ubiquité. Regardez-le en vous, ici, là-bas et partout…
En concluant les travaux ésotériques dans les enfers de Neptune, je devais alors monter dans l’Empirée, la région des Seraphim, qui sont des créatures d’amour, expressions directes de l’Unité…
En effet, c’est ainsi que j’ai reconquis cet état hiérarchique dans le ciel de Neptune, qui est l’univers des divines Monades…
Incontestablement, j’avais atteint la ceinture d’Hippolyte. Une nuit parmi tant d’autres, j’en ai témoigné, puis j’ai dansé avec d’autres êtres ineffables dans une fête cosmique…
Une autre nuit, alors que je flottais dans l’Empirée, alors que j’étais dans un état séraphique, j’ai demandé à ma Mère la lyre, dont je savais alors jouer avec maîtrise… Samael Aun Weor
Élaboration d’un Instructeur sur la Conférence
Citations des écritures de la Kabbale commentées par un instructeur Gnostique, en tant qu’élaboration de la conférence de Samael Aun Weor.
Le Tétragrammaton Iod-Havah יהוה et HaElohim האלֹהים sont un dans la sephirah Daath דעת, comme il est écrit :
« Et tu sais (Vav-Iod-Daath וידעת) ce jour et considère-le dans ton cœur, que Iod-Havah יהוה il est HaElohim האלֹהים dans le ciel en haut et sur la terre en bas ; il n’y a personne d’autre » – Deutéronome 4: 39
Le mot HaElohim האלֹהים contient (deux lettres Hei ה) et le mot Ve-Iod-Daath וידעת contient (les lettres Iod י et Vav ו de) le nom divin (Iod-Havah יהוה) pour montrer que ces deux mots sont un et le même, et sans distinction de nature ou d’essence comme l’impliquent les mots :
« Et Elohim אלֹהים dit qu’il y ait Meoroth מארת (luminaires) dans le firmament (la moelle épinière) des cieux (HaShemayim השמים) pour diviser (Mi Moshe מי משה) le jour (les cieux en haut) de (Mah מה, les cieux en bas) la nuit ; et qu’ils servent de signes, de saisons, de jours et d’années. » – Genèse 1 : 14
Le mot Meoroth מארת (luminaires) est orthographié sans Vav ו, étant singulier dans sa forme pour montrer qu’eux, Iod-Havah יהוה et Elohim אלֹהים, sont comme un sans aucune séparation.
Ainsi, Meauroth מאורת, orthographié sans la lettre Vav ו (est Meoroth מארת luminaires, et s’appelle Elohim אלֹהים). Parce que dans la résurrection, la lettre Vav ו (symbole de la moelle épinière) dans Malkuh, notre physicalité, est l’endroit où Ath את (la Schekinah שכינה) monte, comme indiqué dans « Et Ath la terre » ואת הארץ. » Par conséquent, Malkuth devrait être inclus dans le terme les cieux השמים.
Parce que la lettre Vav ו symbolise aussi la colonne de nuage le jour (Mi מי, les cieux en haut) et la colonne de feu la nuit (Mah מה, les cieux en bas) allant devant Israël (le Neshamoth Chayim נשמת חיים, le ciel du milieu) dans le désert (BaMid’Bar במדבר), représentant l’Être divin (dans l’Arbre de Vie, qui est la moelle épinière du mari ou de la femme). Comme il est écrit :
« Et qu’ils soient des luminaires dans le firmament (la moelle épinière) du ciel pour donner de la lumière sur la terre (leurs physicalités). » – Genèse 1 : 15
Ceci explique le sens caché de :
« Et une brume monte comme la manne de la terre ואד יעלה מן־הארץ (la terre, nos physicalités) ; et arrosa toute la face (la tête) de HaAdamah האדמה, le sol (notre physicalité). » – Genèse 2 : 6
« Et le serpent (Vav-Hei-Nahash והנחש était plus rusé que toutes les bêtes des champs que Iod-Havah Elohim יהוה אלהים avait faites. » – Genèse 3: 1
Qui fait référence aux désirs sexuels éprouvés par la femme (polarité, le Iod יוד de Yesod יסוד, qui est le Daleth ד d’Ad אד, dans les organes génitaux de notre physicalité) envers l’homme (polarité, le Yam ים ou mer de moelle, le cerveau). »
Ainsi, VeAd ואד, le serpent gauche ou Vav-Hei-Nahash והנחש, qui est connecté aux organes génitaux d’Adam ou d’Eve, a reconnu l’union divine en-bas (dans Yesod, le sexe) et (à travers l’orgasme des bêtes, le tantra noir) traîné la lumière d’en haut (pour développer le kundabuffer), une doctrine qui a semé de grands méfaits et conflits dans le monde. Adam et Eve doivent reconnaître la distinction en bas mais l’unité en haut, c’est-à-dire la distinction de l’Être divin de la terre (Vav-Hei וה), mais l’unité de (Iod-Hei יה ou Jah, dans leur) essence et nature qui quand reconnu et universellement reconnu, alors le démon du mal et des conflits (Vav-Hei-Nahash והנחש) disparaîtra de l’humanité et n’aura plus de pouvoir et d’influence sur la terre.
Le secret est que le serpent du désir est le sang qui descend du supérieur vers l’inférieur. C’est-à-dire des séraphim de Geburah, le cœur, à Yesod, les organes génitaux ; oui (Vav-Hei-Nahash והנחש) nage sur (VeAd ואד) nos eaux inférieures de Yesod, le sexe. Ainsi, (Vav-Hei-Nahash והנחש) est descendu pour piéger et piéger les cœurs des fornicateurs dans son filet. Comme il est écrit :
« Et Iod-Havah יהוה envoya les serpents séraphim הנחשים השרפים parmi les gens, et ils mordirent les gens; et beaucoup d’Israélites moururent. » – Nombres 21 : 6
« Et Iod-Havah יהוה dit à Moïse : Fais-toi un serpent ardent, et place-le sur une perche : et il arrivera que quiconque sera mordu, quand il le regardera, vivra. » – Nombres 21 : 8
(Chai חי, vivre, est le sens caché de l’Arbre de Vie, Otz Chayim עץ החיים, qui est le Nes נס, pôle ou moelle épinière, où le Séraphim שרף ou le serpent d’airain, Nahash HaNahashoth נחש הנחשת, doit être placé – Sim שים – sur. Ainsi, le Vav ו du mot VaSim ושים est leur moelle épinière.) Comme il est également écrit :
« Qu’ils soient pour les luminaires מאורת dans le firmament (le Vav ו ou la moelle épinière) des cieux השמים. » – Genèse 1 : 15
Le mot Aur אור (lumière) est aussi un symbole de l’unité divine car ses lettres sont en séquence alphabétique. Aleph א en premier, puis Vav ו, suivi de Reish ר. Ce n’est cependant pas le cas du mot Muth מות (mort) dans lequel les lettres se trouvent inversées. Mem מ étant la treizième lettre de l’Alphabet, Vav ו la sixième et Th ת la vingt-deuxième.
Maintenant, le mot Meoroth מאורת est composé des deux mots Aur אור et Muth מות. Si Aur אור en est retiré, Muth מת reste le symbole de la mort et de la séparation. C’est par ces lettres qu’Ève (les organes génitaux) est devenue la cause du mal dans le monde comme le dit l’Écriture :
« Et quand la femme a vu (Aur אור) que l’arbre était bon à manger, et qu’il était agréable aux yeux, et un arbre à désirer pour rendre sage, elle (les organes génitaux à travers l’orgasme des bêtes) a pris (Aur אור) du fruit de celui-ci, et a mangé (Muth מות, la mort), et a également donné à son mari (le cerveau) avec elle (les organes génitaux) ; et il (le cerveau) a mangé (Muth מות, la mort). » – Genèse 3 : 6
Elle (les organes génitaux à travers l’orgasme des bêtes, le tantra noir) a pris (Aur אור) du mot Meoroth מאורת et avec les lettres Mem et Th מת est resté (mort), ainsi a formé Muth, la mort, qui est alors entrée pour la première fois dans le monde.
Puis Rabbi Eleazar a dit : Mon père, nous avons appris que lorsque la lettre Mem מ a été laissée, alors Vav ו, le symbole de l’Arbre de Vie, a pris son départ. Eve prit alors la lettre Th ת et l’ajouta à Mem מ comme il est dit : « Et elle prit et donna Muth מת (mort) à son mari » (Gen. 3: 6), et forma ainsi Muth מת (mort). »
Afin cependant de contrecarrer ses effets il faut encore lui ajouter la lettre Aleph א (symbole des deux lettres Iod י, les deux polarités sexuelles, en haut et en bas, divisées par la lettre Vav ו, la moelle épinière), dont la valeur numérique est une et symbole de l’Être divin. Muth מת (mort) devient alors Ameth אמת (vérité), par laquelle le monde est sauvé.
Rabbi Siméon a dit : Heureux es-tu mon fils car la même explication du mot m’a également été donnée. » -Zohar
Cette conférence a été originellement donnée en Anglais par Glorian. La conférence originale est Unity and the Duality of Light and Darkness.