Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Volonté Christ
Tu as vu, ô Bouddha, ces Êtres ineffables qui, dans le monde de la volonté, s’inclinaient avec déférence devant la majesté du Père.
Que ta volonté soit faite, ô Dieu ! Sur la terre comme au ciel.
« Mon Père, s’il est possible, éloigne de moi ce calice, mais que se fasse non pas ma volonté, mais la tienne. »
La volonté doit s’agenouiller devant l’Intime.
La volonté doit s’humilier devant la majesté du Père.
Si nous voulons christifier le corps de la volonté, nous devons faire la volonté du Père, sur la terre comme au ciel.
Le Père et le Fils sont un, mais le fils rebelle est faible devant la majesté du Père.
La Volonté-Christ est puissante, parce qu’elle n’accomplit que la volonté de l’Intime, sur la terre comme dans les cieux.
Lorsque la volonté veut agir indépendamment, sans accomplir la volonté du Père, c’est une volonté faible.
Nous devons ceindre nos tempes de la couronne d’épines du Maître.
La couronne d’épines symbolise la Volonté-Christ.
La Volonté-Christ est toute-puissante, parce qu’elle n’accomplit que la volonté de l’Intime, sur la terre comme au ciel.
Lorsque la volonté humaine s’oppose à la volonté du Père, elle commet un crime de lèse-majesté contre l’Intime.
Ce chapitre est tiré de la Volonté Christ (1959) par Samael Aun Weor.