Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Volonté Christ
Le Soleil de Minuit brille dans l’aura du Père.
Le temple est en fête. Devant le temple, nous voyons beaucoup de plantes ornées de belles fleurs.
Nous sommes arrivés au Char divin.
Une lampe bleue resplendit dans le Sanctuaire.
Un Adepte met une flamme sous la lampe, et le bleu divin de cette lampe précieuse s’élève par le fin fil auquel pend la lampe.
Ton cinquième serpent a gravi un canon de plus et tu as pénétré dans l’Arcane Dix-Neuf du Tarot.
Cet Arcane est le Char du Pharaon.
Cet Arcane est la lame de l’Inspiration.
Cet Arcane est solaire.
Le Soleil des Rois divins, le Soleil des triomphes, le Soleil de la Vérité resplendit avec éclat.
L’Arcane Dix-Neuf est l’Arcane des présidents, des rois et des gouvernements.
Tu as vu, ô Bouddha, que tu es maintenant un Roi des rois du monde.
Tu as vu, ô Bouddha, que tu es à présent un gouvernant qui gouverne les gouvernements.
Et cependant, les gouvernements de la terre ne te connaissent pas.
La bannière de la victoire ondoie.
Sur le côté droit de ta tête resplendit un diadème avec trois diamants. Tu le sais.
Des orchestres ineffables retentissent dans les espaces infinis.
D’immenses foules te saluent.
Adresse-toi, mon frère, au plus humble.
Les gens attendent que tu leur parles.
Parle devant ces multitudes qui t’acclament avec frénésie.
Maintenant tu sais que tu commandes.
Tu es un Toi invisible et les nations t’obéissent.
Tu es un authentique gouvernant qui a le pouvoir de gouverner les gouvernants.
Les gens ignorent cela. Tu le sais.
Tu as parlé sur le droit international.
Les multitudes frénétiques t’applaudissent.
Tu as revu quelques actions passées de tes vies antérieures.
Il s’agit d’époques passées et de faits en relation avec le gouvernement d’un pays où tu as été réincarné.
La loi du karma tisse tout savamment.
Avance, bon Bouddha ! Avance !
Je dis à mes Bouddhas que tout Bouddha a son Christ Interne, son Glorian, le resplendissant Dragon de Sagesse, qu’il lui faut incarner en lui-même pour se libérer.
Ce chapitre est tiré de la Volonté Christ (1959) par Samael Aun Weor.