Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Volonté Christ
Nous devons faire la volonté du Père, parce que l’homme est vain et stupide.
Réellement, la conscience humaine est vaine. La vie de chaque personne est vaine, la science humaine est vaine, la raison est illusoire. Les affects humains sont illusoires.
La seule et unique « chose » réelle, c’est l’Absolu.
L’Absolu se révèle comme mouvement impersonnel.
Le Grand Souffle de l’Absolu balaie les multitudes humaines comme des feuilles sèches à l’automne.
Les foules sont des feuilles emportées par le vent terrible.
L’homme ne sait rien, parce que le seul qui sait, c’est l’Absolu.
Le mental et la personnalité humaine, avec tous ses affects et sentiments, nous tiennent enchaînés aux rochers de la douleur et de l’amertume.
Que soit faite la volonté du Père, parce que la mienne ne vaut rien.
Ce chapitre est tiré de la Volonté Christ (1959) par Samael Aun Weor.