Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Volonté Christ
La volonté humaine revêt les aspects les plus variés.
Tu dois maintenant comprendre, ô Bouddha, les divers aspects de la volonté.
Les hautes sphères de la vie sociale sont remplies de fornication et d’immondices.
As-tu vu, ô Bouddha, ce « jeu de dames » dans le monde de l’aristocratie ?
À l’intérieur de chaque pièce il y a un couple de fornicateurs, et au pied de chaque porte une dame badine qui, par jeu, empêche le couple de sortir.
À présent tu comprends, mon frère, comment, en jouant avec la volonté, nous nous sommes convertis en geôliers des volontés d’autrui.
À présent tu comprends, mon frère, comment les jeux sociaux de l’aristocratie servent à s’asservir les âmes à l’intérieur des prisons immondes de la fornication et de l’adultère.
Tu vois, mon frère, comment, en se prêtant à des jeux sociaux, on peut réduire les âmes en esclavage.
Tu comprends maintenant, ô Bouddha, le terrible pouvoir de la volonté !
La volonté est un pouvoir explosif, avec lequel on ne peut jouer impunément.
Une femme en fait tomber une autre par jeu et se convertit en sa geôlière.
En jouant à des jeux sociaux, à des jeux de salon, les dames tombent dans l’adultère.
Les jeux sociaux des hautes sphères sociales sont pure et authentique Magie Noire.
Par des jeux sociaux, les âmes séduisent les âmes, leur enlevant leur liberté.
La volonté est un pouvoir très dangereux, avec lequel on ne peut jouer.
Tu as vu, ô Bouddha, ce qu’est la provocation !
Tu as vaincu de subtiles tentations.
Tu as compris, mon frère, ce qu’est le bon usage de la volonté.
Tu as maintenant compris que tu dois respecter la volonté d’autrui et le libre-arbitre des autres.
Tu as maintenant appris à ne pas contraindre les volontés d’autrui.
Des foules immenses te suivent, ô Bouddha, mais tu dois respecter les volontés humaines.
Tu dois être le serviteur de l’humanité souffrante, non celui qui asservit la volonté d’autrui.
Il faut respecter le libre-arbitre des autres, pour convertir la volonté humaine en Volonté-Christ.
Ce chapitre est tiré de la Volonté Christ (1959) par Samael Aun Weor.