Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Traité d’Alchimie Sexuelle
1 Nu dit, triomphateur :
« Je suis le Chacal des Chacals.
Je suis le dieu Shu qui, dans les régions des dieux lumineux,
Attire vers lui l’Air de l’Océan céleste,
Jusqu’aux bornes du Ciel,
Jusqu’aux bornes de la Terre,
Jusqu’aux bornes du vol de l’oiseau Nebeh.
Que l’Air vivifie donc ces jeunes dieux
Qui se réveillent ! »
Le Livre des Morts, Chap LV.
2 Le Chacal des Chacals est le Chef des Archontes du Destin, c’est Anubis, le Dieu à tête de chacal.
3 Anubis porte les Livres du Karma dans le sous-monde.
4 Le Temple d’Anubis est le Temple des Seigneurs du Karma.
5 Chaque être humain a son livre de négociations.
6 Ceux qui apprennent à manier leur Ka (corps astral), peuvent visiter le Temple du Chacal des Chacals, pour consulter leur Livre et faire leurs négociations.
7 Celui qui a de quoi payer, paye et s’en sort bien en affaire.
8 Celui qui n’a pas de quoi payer, doit payer avec sa douleur.
9 Fais de bonnes oeuvres, pour payer tes dettes.
10 Tu peux également solliciter du crédit des Seigneurs du Karma.
11 Tout crédit doit être payé.
12 Le Logos du Système Solaire, quand il me remit la tunique et la cape de l’Hiérophante des Mystères Majeurs, me dit : « Je te paye ici ce que je te dois, pour les pratiques que tu as enseignées ».
13 Qui veut la Lumière doit donner la Lumière, pour recevoir son salaire.
14 Le Chacal des Chacals conduit à la Lumière, par toutes les bornes du Ciel, et même jusqu’aux bornes du vol de l’oiseau Nebeh, l’énorme serpent, un des quarante-deux Juges de Maat, dans le Jugement.
15 Ce Grand Juge est le Logos du Système Solaire.
16 Le Chacal des Chacals travaille sous les ordres de ce Grand Juge.
17 Ces jeunes dieux, qui travaillent avec Anubis, sont les Seigneurs du Karma.
18 L’alchimiste doit apprendre à conduire son Ka, pour visiter le Temple du Chacal des Chacals et régler ses affaires.
19 Il est indispensable, dans notre travail avec la pierre brute, d’apprendre à conduire nos affaires consciemment.
Ce chapitre est tiré du Traité d’Alchimie Sexuelle (1953) par Samael Aun Weor.