Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : La Doctrine Secrète de l’Anahuac
Magnificat anima mea!
Votre destinée, cher lecteur, ne sera jamais comme les autres mortels si, après avoir soigneusement étudié ce livre, vous pratiquiez les méthodes ou les systèmes enseignés ici pour l’éveil de la Conscience.
Je pourrais aller, en effet – pour valoriser ce que j’ai écrit dans ces pages -, aux écrits médiévaux bien connus, qui se trouvent ici, là et partout selon ces vieux registres littéraires.
Je pourrais aller à l’expédient du divin Platon, qui a mis dans la bouche de Socrate ce que le prêtre de Sais a raconté une fois à Solon dans le delta du Nil.
Je pourrais, en somme, faire appel à d’autres sources ésotériques propres aux récits plus ou moins historiques afin de donner des données plus ésotériques, sans rompre les vœux sacrés du secret initiatique par rapport à la vie et aux actes gnostiques prodigieux de l’Anahuac.
Mais, maintenant, il n’est pas urgent d’ajouter quelque chose de plus à ce livre. Je pense que neuf jours d’étude, de méditation, de jeûne et d’isolement, on pourrait expérimenter directement les vérités contenues dans ce traité ésotérique.
« Ils se méfient des choses de Dieu ; ils n’avaient qu’un seul Dieu ;
Ils l’ont eu comme un Dieu unique;
Ils l’ont invoqué,
Ils lui ont fait des plaidoiries:
Il s’appelait Quetzalcoatl.
Et ils étaient si respectueux des choses de Dieu, que tout ce que racontait le prêtre Quetzalcoatl
Ils l’ont accompli, ils ne l’ont pas déformé.
Il leur a enseigné, il leur a inculqué:
Ce Dieu unique,
Quetzalcoatl est son nom.
Il ne demande rien
sauf les serpents, sauf les papillons,
que vous devez lui fournir,
que vous devez lui sacrifier. » – Matritense Codex
Ce chapitre est extrait de La Doctrine Secrète de l’Anahuac (1974) de Samael Aun Weor.