Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Enseignements Cosmiques d’un Lama
S’agissant de la vérité, il convient d’affirmer instamment ce qui se sent. Sans aucun désir de compétition avec d’autres écrivains, excluant sincèrement toute vaine ostentation, courant cependant le risque de tourmenter nombre d’envieux, il est de mon devoir de confesser que je fus le premier à annoncer l’existence des vaisseaux cosmiques. Dans le courant de l’année 1950, après biens des déboires, galanteries et lettres de défi, sortit mon premier livre : « le Mariage Parfait », que – comme chacun le sait – la foule discuta et tint pour immoral. Il faut donc savoir que ce livre, écrit bien à propos, explique le mystère des soucoupes volantes.
Je n’esquivai pas alors ce thème très épineux et, sans lésiner sur les raisons, j’exposai en vérité très franchement mon idée sur les vaisseaux cosmiques. Evidemment, Julio Medina Vizcaina, insigne homme à l’intelligence éclairée et au coeur noble, outre le fait de financer cette édition sur son propre pécule, dessina également ces objets volants non identifiés. Il faut absolument comprendre que ce travail artistique si notoire eut des fondements et des modèles réels. Cet illustre maître eut la joie de vérifier par lui-même la réalité de l’existence de ces vaisseaux extraterrestres furtifs.
Tandis que, silencieux et tranquille, il rentrait chez lui avec son épouse d’une promenade sur la plage sablonneuse de la mer des Caraïbes, quelque chose d’insolite arriva : il fut certes surpris par quelques vaisseaux cosmiques lesquels, flottant dans l’espace bleu, se perdirent finalement au sein de l’inaltérable infini.
Le 13 mars 1954, le journal « Los Angeles Times » divulgua une information à propos d’une étrange convention, dans une débauche stupide de moqueries et de sarcasmes. Il ne s’agissait de rien de moins qu’un groupe de personnes réunies, affirmant solennellement avoir voyagé dans des vaisseaux cosmiques de provenance extraterrestre. Cet évènement curieux eut lieu à un endroit des Etats-Unis appelé « le rocher géant » dans le désert, près de la Vallée impériale. Tous ceux qui étaient venus au cours de la convention virent un vaisseau cosmique ; des centaines de personnes l’attestèrent. Le mystérieux vaisseau se posa sur les automobiles comme s’il observait la multitude, et se perdit plus tard dans l’espace. La Convention des soucoupes volantes fut organisée sous les auspices de l’excellentissime monsieur Georges Van Tassel.
En ouvrant le programme, Van Tassel accusa franchement quelques terriens jaloux d’avoir saboté le meeting et dit que l’on avait dressé des barricades sur le chemin de sable conduisant au gigantesque rocher.
Une des choses les plus intéressantes fut l’intervention d’un jeune homme très intelligent, de Détroit, appelé Richard T. Miller, qui prit la parole avec enthousiasme afin d’expliquer très clairement son vol extraordinaire de douze heures dans un vaisseau cosmique de cent cinquante pieds de diamètre, lequel avait été très savamment réglé pour envoyer des messages en anglais, au moyen de puissants rayons infra-rouges. Il dit que le contact fut convenu lorsque, du vaisseau interplanétaire, ils lui suggérèrent de se présenter sur un terrain de golf abandonné à quarante miles de Détroit.
Une fois arrivé sur le lieu, le mystérieux appareil extraterrestre lui apparut soudain, le prit rapidement à bord et s’éleva à une grande vitesse. Le jeune homme décrivit ensuite ses expériences sensationnelles au cours de douze heures pendant lesquelles il resta dans la salle de contrôle où de gigantesques tableaux de bord manoeuvraient le vaisseau. Il ajouta, rempli d’une émotion infinie, qu’il lui fut permis de regarder une super-télévision, grâce à laquelle il lui fut possible de pénétrer visuellement dans une automobile où quelques-uns de ses amis de la Terre essayaient de communiquer avec le vaisseau par signaux radio. Il expliqua ensuite très sereinement qu’il fut rapporté au terrain de golf par le capitaine extraterrestre du merveilleux vaisseau.
Miller et son associé Georges H. Williams sont maintenant en train de travailler très intensément à ce qu’ils appellent « Telonid Research Center », à Prescot en Arizona. Il est admirable qu’ils soient parvenus, entre autres choses, à enregistrer un disque avec la voix d’une créature de l’espace extérieur qui entra en communication avec eux.
Un des visiteurs qui recueillit la meilleure audience dans la convention fut le docteur Charles Laughed de Chicago qui, au mois de décembre 1953, se fit une grande publicité sur tout le territoire des Etats-Unis quand il déclara franchement et sans aucune crainte avoir reçu une communication de l’espace dans laquelle on prédisait des catastrophes sur la Terre, et la réapparition des continents perdus Lémure et Atlante.
Les gens continuèrent à arriver en voiture et par avions, tandis qu’un pittoresque ensemble humain bigarré, composé d’une multitude de curieux, se regroupait autour de la plate-forme où se trouvaient les orateurs.
« Nous sommes ici pour révéler les choses, et non pour les cacher », commença par dire Van Tassel. « Les vaisseaux de l’espace sont conduits par des intelligences supérieures aux nôtres ».
« Les hommes de l’espace sont ici pour nous aider au moment critique. Nous les orateurs, réunis pour la première fois aujourd’hui, avons une tâche à effectuer et nous allons l’effectuer ».
Truman Bethurum, auteur d’un livre intitulé « Scow from Clarion » dit avoir eu onze conversations avec des gens de l’espace cosmique et dit : « Un matin, il y eut tant de vaisseaux spatiaux au-dessus de Washington que la force aérienne crut au péril d’une attaque venant d’autre planète ».
Un moment intéressant : quand le groupe disant avoir effectué des voyages en vaisseaux spatiaux se réunit pour que le journaliste les filme.
A côté de Miller et Bethurum se trouvaient Jorge Adamski, Dana Howard et Orfeo Angelucci.
Les descriptions des voyages dans l’espace infini se poursuivirent ensuite dans une immense ferveur.
Un homme qui se promenait aux alentours avec un compteur Geiger dit que l’air du « rocher géant » était imprégné de rayons cosmiques qui étaient soit des rafales de nuages atomiques venant du Nevada, soit produits par des navires de l’espace.
De toute façon, tout le monde était en observation, dans l’attente de l’atterrissage d’un vaisseau.
Pour conclure ce chapitre, nous dirons : il s’avère en vérité très intéressant que quatre ans après notre annonce – pour la première fois – de l’existence de vaisseaux cosmiques, cette magnifique convention ait été effectuée comme pour corroborer nos affirmations.
Ce chapitre est tiré des Enseignements Cosmiques d’un Lama (1970) de Samael Aun Weor.