Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Cours Zodiacal
L’authentique carte cosmographique est imprimée dans l’organisme humain. La poitrine est notre Mercure, le ventre est Saturne, et les organes sexuels, qui sont le fjord de notre carte corporelle, représentent le Soleil de l’organisme.
Les horoscopes de foire, les horoscopes basés sur l’arithmétique, sont bons pour les gitanes et les diseuses de bonne aventure, mais pas pour les hommes sérieux, encore moins pour des Initiés, car un Initié authentique jamais ne s’occuperait de ces balivernes.
Les planètes évoluent, vivent et palpitent dans notre conscience, et tous les mouvements stellaires sont enregistrés dans la carte cosmographique authentique de l’organisme humain.
Les douze portes zodiacales de cet organisme nous permettent de pénétrer dans chacune des douze constellations zodiacales.
Les étoiles font partie de la conscience cosmique, et cette conscience réside en nous-mêmes, ici et maintenant. Ainsi donc, nous le répétons, les étoiles sont dans notre conscience, et non en dehors, et l’horoscope authentique de l’être humain est écrit dans la carte cosmographique de son propre corps. Tous les événements cosmiques (naissance ou destruction d’une planète, passage d’une comète, conjonctions ou oppositions planétaires, éclipses, etc.) ont lieu dans notre conscience, et leurs résultats précis ne peuvent être connus que par ces astrologues initiés qui parlent la langue sacrée et savent lire leur carte cosmographique.
Le véritable astrologue doit être un alchimiste des rayons stellaires. Sinon il ne pourrait en aucune façon combiner les diverses substances et les divers sels pour modifier les rayons stellaires et cristalliser des événements dans le monde physique.
Seul peut être un astrologue authentique celui qui sait lire la carte cosmographique de l’organisme humain.
L’homme a commencé son évolution en Lion et terminera son évolution en Lion. Toute l’évolution de l’homme est écrite dans la carte cosmographique de son propre organisme.
Que la paix soit avec vous.
C’est la grâce que je vous souhaite, mes chers frères.
Ce chapitre est extrait du Cours Zodiacal (1951) de Samael Aun Weor.