Seconde Naissance
Être « né de nouveau ». La création de l’âme comme enseignée par Jésus à Nicodème :
« Il y avait un homme parmi les Pharisiens, nommé Nicodème, chef des Juifs.
Celui-ci vint de nuit vers Jésus et lui dit : Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu ; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui.
Jésus répondit et lui dit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu.
Nicodème lui dit : Comment un homme peut-il naître alors qu’il est vieux ? peut-il entrer une seconde fois dans le sein de sa mère et naître ?
Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu.
Ce qui est né de la chair est chair ; et ce qui est né de l’Esprit est esprit. » – Jean 3:1-6
« Dans le Gnosticisme et l’ésotérisme, on comprend que la fabrication des corps solaires et l’incarnation de l’Être sont connus comme la Seconde Naissance. » – Samael Aun Weor, Le Traité Ésotérique d’Astrologie Hermétique
« … par le croisement incessant du Mercure et du Soufre, il est d’abord possible de créer le corps astral ; dans un deuxième temps, de créer le mental, et dans un troisième, de créer le corps causal. Quiconque possède un corps physique, un corps astral, un corps mental et un corps causal, reçoit pour cette raison ses principes spirituels psychiques, et devient un humain authentique, un véritable humain, un vrai humain. Ainsi, quiconque devient un véritable humain est dit avoir atteint la seconde naissance, parce que si avec la première naissance on est né en tant qu’animal intellectuel, avec la deuxième naissance on naît en tant que véritable humain. La deuxième naissance est pour les véritables humains. » – Le Baptême et la Pierre Philosophale
« Personne ne peut atteindre la Seconde Naissance, renaître de nouveau (comme il est dit dans l’Évangile du Seigneur), tant qu’il continue à vivre avec la psychologie de l’humanoïde inférieur, commun et ordinaire. » – Samael Aun Weor, La Grande Rébellion