Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Conférences de Samael Aun Weor
Tombe de Pakal, Palenque
Étudiant : Dans tout le centre de la vallée de Mexico, il y a une montagne. Mais jusqu’à ce que j’arrive à la montagne, j’ai réalisé que cette montagne est un volcan, maître (qui est au centre de la montagne), n’est-ce pas? Ici c’est la vallée de Mexico, et il y a une pyramide dans tout le centre, dans tout le centre il y a une pyramide, maître, et bien sûr elle est détruite, n’est-ce pas? Mais alors, on se rend compte qu’il y a un cercle au centre de la montagne, n’est-ce pas? Autrement dit, à l’intérieur de la pyramide, et comme ici se trouvent les autres anciennes citadelles Aztèques (de nombreuses villes), où à certaines périodes de l’année un feu était allumé, ici, pour des rites cérémoniels ; puis d’ici les signaux étaient donnés pour les autres. N’est-ce pas, maître? Et ils ont communiqué par des coquilles d’escargots, ils m’ont montré…, par des coquilles d’escargots…
Samael Aun Weor : C’est un appelant, appelant à travers une coquille d’escargot…
Étudiant : Oui maître, c’est ça. Et le feu qu’ils allumaient ici était un message, pour annoncer des rites cérémoniels…
Samael Aun Weor : Oui, les rites cérémoniels… Surtout, les villes qui célébraient tous les 52 ans le renouvellement des feux ; qui a beaucoup servi dans l’Antiquité : le renouvellement des feux tous les 52 ans…
Étudiant : Oui maître ; et ici ils mettaient des huiles et des résines, pour allumer ce feu. Est-ce vrai?
Samael Aun Weor : Le feu sacré. Tous les 52 ans, ils organisaient des fêtes spéciales, des rituels spéciaux de feu…
Étudiant : Oui. Maître, une autre chose qu’ils m’ont permis de percevoir, c’est qu’il y a des grottes ici, à l’intérieur de cette montagne ; et ici un trésor géant, rangé. Dehors il y a un temple, un peu là-bas, n’est-ce pas, maître? Il y a un temple en or pur (enfin, c’est comme ça que je le perçois). N’est-ce pas, maître?
Samael Aun Weor : Oui…
Étudiant : Et il y a un trésor stocké là-bas, géant… Et je ne sais pas si c’est le trésor de Moctezuma, ou à qui appartient-il, maître.
Samael Aun Weor : Eh bien, le trésor de Moctezuma n’est pas là…
Étudiant : Mais c’est un trésor, n’est-ce pas, maître?
Samael Aun Weor : Il y a un trésor là-bas, mais ce n’est pas celui de Moctezuma.
Étudiant : Et quand les conquérants sont venus, ils l’ont gardé là, maître, n’est-ce pas? au centre de cette montagne?
Samael Aun Weor : Eh bien, les dieux Nahuas ont laissé derrière eux tous leurs trésors entreposés. Quant aux conquérants Espagnols, je n’ai pas investigué sur ce cas. Les Nahuas ont laissé leurs trésors entreposés…
Étudiant : Non, non, ce que je veux dire, maître, c’est que lorsque les conquérants Espagnols sont arrivés, eh bien, ils ont caché leurs trésors… Puisqu’ils savaient qu’ils venaient…
Samael Aun Weor : Oui, les autochtones……cachaient leurs richesses, leurs valeurs, leurs pierres précieuses, qui symbolisaient ou allégorisaient certaines vertus, etc., etc., etc. C’est évident.
Étudiant : Oui, maître, et c’est-à-dire que dans chaque pyramide, nous avons fait de petites méditations, n’est-ce pas?
Samael Aun Weor : Correct!
Étudiant : Et aujourd’hui, quand nous sommes allés apporter le…
Samael Aun Weor : En fait, sur l’anthropologie, je n’ai presque rien lu (si quelque chose, je n’ai presque rien lu).
Étudiant : Mais tu sais tout!…
Samael Aun Weor : Cependant, tout ce qui existe ici, chez les Nahuas et qui existe chez les Mayas, je sais tout (complet, tout). C’était, même connu de moi, en donnant beaucoup d’instructions sur tout ça, pourquoi? Parce que dans les temps anciens, j’étais lié à cette grande culture, avec ces cultures Maya et Nahua. Je devais venir d’Atlantide, conduire des caravanes…
Étudiant : Maître, n’est-ce pas qu’il y avait des chameaux, qu’eux aussi sont venus ici à dos de chameau?
Samael Aun Weor : Ils sont venus, mais du nord du Golfe du Mexique, là où il y avait une bande de terre qui reliait l’Afrique, à travers l’Atlantide…
Étudiant : Nous avons vu des chameaux…
Samael Aun Weor : Et puis les caravanes sont certainement venues. Ils logeaient dans les « caravansins », sorte de restaurants ou cafés (on dirait plutôt restaurants ou hôtels) ; ils y restaient. J’ai toujours rencontré ces noirs qui venaient, quand ils venaient d’Afrique, par l’Atlantide. Je savais tout cela, et plusieurs fois j’ai dû aussi conduire les pèlerins à Teotihuacán et au Yucatán, et tout cela. C’est pourquoi je connais toute cette sagesse des anciens Nahuas, Mayas, Toltèques, Zapotèques, etc. Il y a beaucoup de formes de tête là-bas, d’un sujet aux traits noirs. Un sujet que je connaissais… Cela est dû à un souvenir des initiés Africains qui sont venus ici…
Étudiant : [Étudiant arrivant]. Ça m’intéresse d’entendre ça… [d’autres arrivent et s’installent]…
Samael Aun Weor : Je répète : je connaissais cette sagesse ancestrale des Nahuas, Mayas, Zapotèques, Toltèques, etc. Et je vous ai déjà dit que je n’ai presque rien lu sur l’anthropologie (je n’ai pas lu, pour être plus clair). Ce que je sais en matière autochtone est quelque chose de complètement vécu par moi-même ; parce que quand les caravanes sont venues, qui venaient d’Afrique du Nord (de toute l’Afrique, mais surtout d’Afrique du Nord) jusqu’ici, j’ai été témoin de beaucoup de choses. Il y avait des caravanes qui venaient de l’Atlantide, des caravanes qui venaient d’Afrique, à travers l’Atlantide…
Il y avait une bande de terre qui communiquait avec l’Afrique, au nord du Golfe du Mexique.
Là, j’ai toujours trouvé de nombreuses caravanes (d’Africains) qui venaient qui passaient par l’Atlantide et arrivaient au nord du Mexique. Et je les ai rencontrés : des Africains noirs qui logeaient dans les caravansins (sorte d’hôtels qui existaient). Là ils sont restés, là ils se sont installés…
Et il y avait aussi des initiés noirs Africains. Mais, pour le rappeler, apparaît un type à grosse tête, aux pommettes saillantes et à la bouche Africaine, au nez Africain… Les anthropologues les appellent, ils disent, les « Olmèques ». Eh bien, j’entends ce qu’ils disent, mais je dis ce que je sais. Ce qu’ils disent est une chose, et ce que je sais en est une autre…
Si vous regardez ces têtes de pierre (énormes, grosses, avec des traits Africains), elles sont certainement Africaines! Elles ont été faites en souvenir de ces initiés Africains qui sont venus d’Afrique par l’Atlantide.
L’Afrique ne s’appelait pas « Afrique » à cette époque ; c’était alors un petit continent : le continent de Grabonci.
Étudiant : Grabonci?
Samael Aun Weor : Grabonci! Et ce continent n’était pas très grand ; le continent de Grabonci était petit…
Mais plus tard, après la submersion de l’Atlantide, de nouvelles terres ont émergé du fond des mers et ont été ajoutées à ce continent et il a grandi, il est devenu grand. Mais à cette époque dont je vous parle, le continent de Grabonci était très petit.
Mais les initiés Africains sont venus d’Afrique, par l’Atlantide, et ont atteint le nord du Golfe du Mexique, et sont entrés dans tout le pays. Et en conséquence, les descendants ont élevé des monuments puis sculpté des têtes, en témoignage de ce peuple Africain.
Mais, vous remarquez vraiment que ces têtes sculptées ne coïncident avec aucune des races précolombiennes, établies ici dans le pays ; ces têtes sculptées sont complètement de type Africain…
Étudiant : Africain…
Samael Aun Weor : Africain! D’où vient-il? Souvenirs de cette époque!
Avec le naufrage de l’Atlantide, cette terre [qui communiquait avec l’Afrique par le nord du Golfe du Mexique] a disparu. C’est fini, l’océan a englouti cette bande de terre et il y a eu des changements colossaux. Par exemple, normalement, j’aimais vivre dans une vallée très calme, là où se trouve aujourd’hui le Golfe du Mexique. Il est arrivé qu’avec la grande catastrophe, cette vallée a été inondée par les eaux et aujourd’hui c’est le Golfe du Mexique.
Il y a eu de terribles changements dans la géologie. Celui-ci était rempli de nombreux royaumes; j’aimais vivre de royaume en royaume… c’était plein de royaumes…
Étudiant : Vous visitiez tout cela, maître?
Samael Aun Weor : J’ai visité tous ces royaumes, et ces royaumes ne s’appelaient pas « Mexique », ils avaient des noms différents, selon les rois, selon leurs traditions. Bien sûr, plus tard le Mexique, avec les Mexicas, a pris son nom de l’ancien Mexique ; mais à cette époque dont je vous parle, il y avait beaucoup de royaumes, beaucoup… je les connaissais tous…
Et toute cette connaissance et tout ce qui est dans ces pierres (cette chose entière), est une connaissance ésotérique transcendantale. Ça a été ou ce sera mon tour de les dévoiler, et ça a été mon tour de les dévoiler. J’ai été témoin des cultes qui ont eu lieu, à la fois au Yucatan et dans l’ancien Tenochtitlan et les lieux voisins.
Mais remarquez une chose très curieuse : ce type de têtes Africaines sculptées (auquel je fais allusion), ne correspond, vraiment, à aucune des cultures existantes ici. C’est quelque chose de différent, quelque chose d’étrange, quelque chose de différent, quelque chose qui n’a rien à voir avec ces cultures actuelles.
Étudiant : En effet, ces têtes Africaines sculptées ne rentrent pas, ni chez les Nahuas ni chez les Mayas. Nous avons toujours observé cela, depuis longtemps. Nous les observons depuis longtemps : ils ne correspondent pas, ce ne sont pas les mêmes. Les sculptures, les expressions humaines, c’est-à-dire tout, ne correspondent pas.
Samael Aun Weor : Ils ne rentrent pas!…
Étudiant : Eh bien, et ces pierres, qui sont comme ça, et des pierres comme ça… à quoi servaient-elles? Ce sont des pierres comme ça et puis il y en a de très grosses dont on ne peut pas expliquer comment…
Étudiant 2. Ah, ça, ce que je t’ai dit! Celui-ci, celui-là à Villa Hermosa, à Tabasco (on dit aussi qu’il est de la culture Olmèque). Il y a une construction qui est rectangulaire, mais c’est fait d’énormes monolithes, d’énormes rochers, d’énormes pierres qui ont cette disposition, disons, comme ça : elles sont clouées, elles sont enfoncées dans le sol et comme ça, comme un gros « cage » dans tout le centre du quadrilatère ; vérité? Et puis aussi là-haut, vous avez de gros rochers comme celui-ci, de colonne en colonne, n’est-ce pas? Mais non, ils n’ont ni régularité, ni symétrie, ni quoi que ce soit d’autre. Ils sont énormes, placés comme ça, disons, qu’ils forment une sorte de cage. Mais c’est énorme. Chacune de ces roches encastrées aura donc environ six mètres de haut.
Étudiant : Fabriqué par des géants!
Étudiant 2 : Oui, il semble ; peut-être qu’ils peuvent être à manger. Mais je pense qu’ils étaient, oui, pour manger…
Étudiant : Je ne me suis jamais expliqué à quoi cela servait. Je ne trouve pas à quoi ça servait…
Étudiant 2. Ils sont comme une sorte de maison… Ceux qui sont comme ça aussi sont séparés, c’est comme une cage.
Étudiant : Pourrait-il s’agir de la structure d’une maison, maître, puis recouverte d’autres choses, pour le logement?
Étudiant 2. Eh bien, seulement qu’ils les ont recouverts de feuilles de palmier, ou d’herbes, ou d’autre chose…
Étudiant : La structure d’une maison?
Samael Aun Weor : Certaines structures de maison et tout ça. Mais ce qui est curieux, c’est que de si grosses pierres n’ont pas été chargées comme beaucoup le croient, non! Alors les pierres étaient pétries, les rochers étaient pétris au moyen d’une certaine formule aujourd’hui perdue…
Étudiant : Pétri avec des herbes, maître?
Samael Aun Weor : Avec des plantes. La roche était pétrie et chaque pierre était dûment posée, dûment pétrie; il n’était pas nécessaire de les charger…
Étudiant : Se pourrait-il qu’elles aient été chargées en petits morceaux et façonnées?…
Samael Aun Weor : Non, ils ne les ont pas chargés, ils les ont pétris là, ils le faisaient, en les pétrissant!…
Étudiant 2 : Cela explique les « boules d’Ameca » que nous avons vues qui sont très rondes, et elles sont gigantesques…
Étudiant : Juste là (au même endroit) ils les ont pétris!
Étudiant 2 : A.Q. connaît une personne qui a le secret du pétrissage des pierres ; il a des sculptures moulées, dans des roches pétries…
Samael Aun Weor : C’est comme ça qu’ils pétrissaient les pierres autrefois…
Étudiant : Maître Samael, pouvez-vous nous donner la clé du pétrissage?
Samael Aun Weor : Eh bien, je n’ai pas cette clé; ou du moins, en ce moment, je ne me souviens pas de cette formule, je ne m’en souviens pas… Plus tard, il se peut que je m’en souvienne, mais en ce moment je ne m’en souviens pas…
Étudiant : Maître, je veux vous poser une autre question : lorsque nous étions aujourd’hui au centre, eh bien, de la vallée de Mexico, là sur la colline, après avoir mis en évidence le trésor qui y est stocké et son temple d’or, aussi, ce que je vous ai dit maintenant maître, eh bien, les résines étaient préparées, n’est-ce pas? Et ils les avaient là pour célébrer les rites en communauté dans la vallée de Mexico, mais quelque chose que je crois est comme une explication, cela m’est venu à l’esprit, que mère nature a consciencieusement fait cette vallée, comme un centre magnétique, comme un « nombril », comme une chose d’énergie, car elle est formée comme par un zéro (la colline des montagnes) et au centre l’unité. Une création de mère nature, bien, consciencieusement, maître; comme un centre magnétique puissant…
Samael Aun Weor : Il y a beaucoup de points magnétiques là-bas……des rites merveilleux,……des cultes extraordinaires qui étaient célébrés au Yucatan……des cultes formidables. Il y avait des cultes et toutes sortes d’autels, mais le plus important était le cycle du renouvellement du feu……du renouvellement du feu, tous les 52 ans. C’est un culte très particulier. Il y a un cycle de feu, tous les 52 ans…, tous les 52 ans…
Étudiant : Maître, et tous les 52 ans, le feu était allumé ici, au centre?
Samael Aun Weor : Eh bien, il était renouvelé, il y avait un renouvellement, toute la liturgie est venue, une liturgie extraordinaire qui s’est perdue…, elle s’est perdue…
Étudiant : Un changement, quelque chose de nouveau pour tout le monde?
Samael Aun Weor : Nouveau feu!…
Étudiant : Nouveau feu!…
Samael Aun Weor : Mais toute cette liturgie du feu a été perdue. Les coquilles d’escargots étaient aussi utilisées comme encens pour les offrandes enfumées : encens d’escargot jaune, noir pour les offrandes enfumées…
Étudiant : Comme encens pour les offrandes enfumées…
Samael Aun Weor : Premier : noir, blanc, jaune et rouge. Ils étaient alors réduits en poudre et utilisés comme encens pour les offrandes enfumées ; dans les fêtes religieuses où Vénus était vénérée…
Étudiant : Génial!…
Étudiant : C’est pourquoi on l’appelle « Citlaltépetl », c’est-à-dire, ce serait « colline de l’étoile »… Mais, quel est le rapport, maître, entre ceux qu’on appelle les « sept chèvres » ou « Pléiades », avec le soleil? Parce que, précisément, à cette date où le cycle de 52 ans s’achevait, ces étoiles devaient passer perpendiculairement à la colline. Et si elles le faisaient, ils tenaient pour acquis qu’à l’aube, le soleil devait se lever. Parce qu’il est prédit qu’à la fin d’un cycle de 52 ans, la fin du cinquième soleil arrivera. Que, sur 52 ans, cela implique-t-il un cycle plus grand? On sait que le cycle annuel de 52 jours couvre un septénaire, n’est-ce pas? Donc, il doit y avoir un septénaire majeur.
Samael Aun Weor : Naturellement! Tout comme dans un cosmos il y a un autre cosmos, et dans cet autre cosmos il y en a un autre, de même, dans les sept cycles de 52 ans, il y a sept autres cycles encore plus grands, qui englobent donc l’humanité entière. Maintenant, par exemple, nous sommes à l’intérieur du plus grand cycle ; nous sommes exactement, au cinquième soleil. Donc, en ce moment, nous attendons la grande catastrophe. Et cet événement aura lieu dans le katun-13 des Mayas, lorsque le katun-13 arrivera. Katun-13 entrera dans l’année 2043.
Étudiant : Est-ce que le katun est aussi un cycle? Certains disent que c’est un cycle de 20 ans chaque katun, mais je crois que ce n’est pas le cas, mais 52 ans.
Samael Aun Weor : Non; il y a de petits cycles et dans les petits cycles, il y a des cycles plus grands, et dans les grands il y en a de beaucoup plus grands. Ainsi, par exemple, Katun-13 est quelque chose de merveilleux, n’est-ce pas? En l’an 2043, le katun-13 entrera et quand le katun-13 entrera, la grande catastrophe viendra ; elle vient dans le katun-13 des Mayas.
Les Nahuas assurent que « les enfants du cinquième soleil périront par le feu et les tremblements de terre »…
Mais il y a sept cycles (des cycles de 52 ans, qui sont petits), mais dans ces sept cycles de 52 ans, le cinquième soleil apparaît sous une forme de plus en plus grande, n’est-ce pas? Par exemple, le cinquième soleil appartient à la race racine Aryenne ; le quatrième soleil, à la race racine Atlante ; le troisième soleil, aux Lémuriens; le deuxième soleil, aux Hyperboréens ; le premier soleil, aux peuples de l’époque Polaire ou Protoplasmique. Nous sommes au cinquième soleil. À cette époque, la grande catastrophe est attendue, par le feu et les tremblements de terre.
Maintenant, comme pour les Pléiades à proprement parler, nous avons actuellement des habitants qui viennent des Pléiades. Les Pléiades sont étroitement liées à l’archipel Atlante ; les sept Pléiades correspondent aux sept îles les plus importantes de l’Atlantide. Et il se trouve que les Nahuas étaient des descendants de l’Atlantide ; alors ils ont parlé des Pléiades (savoir qui par les Toltèques, a été hérité de l’Atlantide).
Ainsi, les Pléiades sont très importantes : elles sont naturellement liées aux sept îles sacrées et aux sept races racines de l’humanité. Si elles passent par tout le centre de la colline de l’étoile (car ils ont fait des calculs exacts), ce sera favorable. Mais si le passage des méridiens, longitude, latitude…, eh bien, ils ne parlaient pas de « méridiens », comme nous, n’est-ce pas? Mais, exactement, « c’est arrivé » et c’est tout. Si cela n’était pas exact, alors certaines calamités, guerres, etc. pourraient en être déduites.
Étudiant : Quelle sagesse ces gens avaient!…
Samael Aun Weor : Beaucoup! Tout cela est merveilleux, n’est-ce pas? Dans la « colline de l’étoile », alors, beaucoup de culte était rendus aux choses cosmiques. Et bien sûr, il n’a cessé d’être célébré tous les 52 ans, comme il se doit, le renouvellement du feu…
Étudiant : Maître, quand nous étions là-bas, bien que l’on soit un « humanoïde lunaire », un « animal intellectuel », n’est-ce pas? Mais intérieurement on ressentait une euphorie, et on sentait les maîtres, on sentait qu’il y avait quelque chose de spécial, n’est-ce pas? Nous ressentons une grande et terrible joie, maître ; une joie dans nos cœurs, quand nous y sommes arrivés…
Samael Aun Weor : Eh bien, vous rafraîchissiez dans votre mémoire les connaissances que vous aviez autrefois. Vous étiez dans toutes ces choses, vous connaissiez tous ces rites qui se pratiquaient là-bas, sur la colline de l’étoile…
Étudiant : Oui, maître, et je me suis même vu à l’époque où les gens célébraient le processus de cinquante-deux ans, à l’époque où le feu était allumé. Ma personne était là, qui a aidé ces processus…
Samael Aun Weor : Allons à la terrasse puisqu’il fait terriblement chaud ici, vous ne sentez pas la chaleur?
Étudiant 2 : Maître, vous avez chaud à cause du thé à la menthe poivrée que nous avons bu…
Samael Aun Weor : Oui, c’est à cause de ce thé!
Étudiant :…une joie qui nous a obligés à nous exclamer : « enfin, enfin nous sommes de retour! »
Samael Aun Weor : En tout cas, vous étiez prêtre de ces terres ; vous étiez un prêtre, un ancien initié. Vous avez donc travaillé dans ces temples de l’Anahuac. Et maintenant, il vous faut rafraîchir vos connaissances en tant que vieux prêtre de l’ancien Mexique……vous aviez vous-même certaines connaissances que vous avez oubliées : comme quand vous avez cueilli une rose, par exemple, n’est-ce pas?, une fleur, une rose…, vous avez su y chercher, prédire : à travers les pétales, vous avez atteint le cœur de la rose et trouvé certaines signatures qui permettaient de prédire certains événements cosmiques. Mais c’était à cette époque antique… La connaissance qui aujourd’hui a été perdue. Pour l’instant, il ne vous reste plus qu’à compter le nombre de pétales, pour pouvoir vous orienter. Cela vous donnera l’Arcane correspondant et la relation avec les Pléiades…
Étudiant 3 : Maître, quand je me suis réveillé (je vous l’ai dit, n’est-ce pas? Le matin), maître, à quatre heures du matin je me suis réveillé et je les ai entendus me dire : « ils venaient de te nommer prêtre de Tlaloc ».
Samael Aun Weor : Eh bien, ce n’est pas que « ils viennent de vous nommer » : c’est que vous êtes!
Étudiant 2 : Maître, on ne vous l’a pas dit……dans la pyramide de Malinalco ; là, nous avons été reçus avec euphorie. Et à partir de là, pour cette raison, monsieur, en entrant dans le temple des chevaliers aigles et des chevaliers tigres, il y a un récipient là-bas, creusé dans le sol (bien sûr, les profanes disent que c’est là que les cœurs étaient jetés). Mais aussitôt nous nous sommes aperçus que c’était là que le feu était allumé.
Alors, même si c’est une zone archéologique (avec des gardes et tout ça), on a eu l’audace, avec le groupe qu’on avait, d’y allumer un feu. Immédiatement, il semblaient que c’était comme un four, parce que le feu a commencé à crépiter, à avoir l’impression qu’un air l’agitait et que le feu s’est développé d’une manière merveilleuse.
Ensuite, nous avons dû l’éteindre parce que le garde arrivait, mais à l’intérieur, nous avons ressenti une grande joie…
…quand nous avons appris que les maîtres nous avaient dit que……cela faisait des milliers d’années que le feu n’y avait pas été allumé ; cela faisait des milliers d’années que de tels visiteurs n’étaient pas venus ici, comme ce groupe auquel nous allions. Où l’on s’aperçoit qu’il y avait là une sœur qui fut autrefois prêtresse…
Puis nous sommes allés dans un autre temple. Aussi, dans des circonstances similaires, nous avons été reçus avec joie. Quand nous y sommes entrés, nous ne pensions pas qu’ils nous recevraient avec une telle joie.
Quand nous sommes arrivés à un autre temple (et c’était à Tenayuca) ils nous ont reçus avec une grande solennité, ils nous ont donné un bâton et des flèches.
Puis nous sommes allés au temple de Quetzalcóatl, à Cholula. La première fois, nous avons été reçus très sévèrement ; non seulement avec solennité, non seulement sérieusement, mais très sévèrement.
Alors, on avait peur de repartir, mais, bien sûr, il fallait y aller. Nous y avons emmené deux frères et à cette occasion, au contraire, nous avons été traités avec un raffinement…, avec une ineffable harmonie, et avec beaucoup d’amour…
Samael Aun Weor : Oui, vous êtes un prêtre (à propos de cette expérience vivante, un prêtre de Tlaloc), c’est vrai…
Étudiant 2 : Ensuite, à Teotihuacán (là dans un temple où sont les peintures), une fois nous sommes allés et dans une méditation… …ils nous ont donné une cape; une cape, mais comme celle qu’utilisaient les ancêtres, une cape recouverte de plumes. Ceci, bien sûr, nous ne l’avions jamais dit absolument à personne.
Samael Aun Weor : Oui, c’est votre héritage, votre héritage secret. Naturellement, maintenant il faut retourner, encore, se lever, retourner, encore officier, il faut retourner à son Être…
Étudiant 2 : Là, dans le temple de Tenayuca, la fois précédente, avant de nous donner cette canne et ces flèches, on nous a dit : « Enfin vous êtes revenu, après un long pèlerinage! »…
Samael Aun Weor : Et le pèlerinage a été assez long et dur! Alors maintenant, vous êtes sur le chemin.
Étudiant : Le long du « petit chemin »…
Samael Aun Weor : Maintenant, il faut retourner à l’office, retourner à l’action, comme vous avez agis à l’époque, toujours avec sagesse. Vous devez vous rappeler que non seulement la grande pyramide d’Égypte était orientée vers Sirius à un certain moment, mais aussi ici, même la pyramide du soleil a coïncidé avec Sirius à certains moments. Et certains temples et pyramides, ici, encore à cette époque, se dirigeaient également vers Sirius. Sirius était beaucoup vénéré, non seulement en Égypte, mais aussi dans les anciennes villes ici, au Mexique.
Étudiant 4 : Dans une pyramide au Guatemala, dans une expérience interne, j’ai vu que j’avais été jeté hors du temple pour avoir révélé les secrets ; car je n’ai jamais compris pourquoi le secret du Grand Arcane, dont l’humanité a tant besoin, était gardé. J’apporte le souvenir que, pour cette raison, j’ai été chassé plus d’une fois des temples.
Samael Aun Weor : Pour avoir dévoiler le Grand Arcane. C’était une violation de le remettre…
Étudiant : C’était une violation de le remettre…
Samael Aun Weor : C’était très sérieux! En Égypte, par exemple, celui qui révélait le Grand Arcane était emmené au pied d’un mur (où apparaissaient des peaux de crocodiles et tout ça), puis il y était décapité.
Étudiant : C’était terrible…
Étudiant 4 : C’est pourquoi…
Étudiant : Monsieur Ch., quel est le nom du temple où se trouvent deux urnes funéraires? À l’entrée du temple se trouvent les deux……de feu, où est-ce?
Étudiant 5 : Celui-là est devant le temple qui est devant Tenayuca…
Étudiant : Quel est son nom?
Étudiant : Ah, maître, désolé! Je voudrais vous demander : là, dans cette ville de Sainte Cécile, il y a une pyramide et elle a deux grands brûleurs d’encens ; donc, nous sommes entrés et ils parlaient et puis……là-haut, maître. Mais dans ce temple, surtout, ils ne s’habillent pas comme ils s’habillent dans d’autres temples, qui sont avec leurs robes différentes, alors j’ai vu des maîtres très exaltés, très purs, c’est-à-dire de grands initiés, le plus que j’ai pu mettre en évidence, maître ; et utilisèrent leurs pavillons de plumes ; et ces maîtres étaient différents, n’est-ce pas? Donc, il y avait une réunion de maîtres. Alors, un maître a parlé de moi, n’est-ce pas? Que j’avais commis des crimes très graves, et que j’y étais avec un maître de la loi ; d’autres ont parlé pour moi. Puis il y eut là une réunion de maîtres. Et peut-être que mon Père…, il y a eu une réunion là-bas, eh bien, ça m’a permis de continuer, n’est-ce pas? Mais quelque chose de spécial s’est passé là-bas, maître, dans cette cérémonie, quelque chose s’est passé… Et puis, ce que je n’ai pas compris, c’est pourquoi cette réunion a eu lieu, maître. Et un maître comme de la loi, n’est-ce pas? Et d’autres m’ont défendu…
Samael Aun Weor : Oui, des accusations…
Étudiant : Il y a quelque chose de très important, maître, et c’est l’extraordinaire richesse culturelle des Mayas et des Nahuas, qui commence à être vue, par les étudiants universitaires, sous différents angles…
Samael Aun Weor : Il faut voir les richesses incalculables des Mayas, et du Christianisme chez les Mayas!
Que dirions-nous, par exemple, de la personne décapitée, dans laquelle sept serpents apparaissent à la place de la tête : deux groupes de trois, avec le sublime couronnement de la septième langue de feu, qui nous unit à l’un, à la loi, au Père…?
Étudiant : Où est-ce?
Samael Aun Weor : C’est chez les Mayas, là-bas au Yucatan; je l’ai trouvé dans une pierre qui était là.
Étudiants : …
Samael Aun Weor : Ce sont les sept serpents…, les sept serpents…
Étudiants: …
Étudiant : Maître, c’est Cuicuilco. Donc, tout cela était couvert, eh bien, et ici, il y a de la lave qui recouvre ce côté de la montagne (quand il y a eu les grands tremblements de terre) et dans la méditation nous avons vu la Mère Kundalini sous la forme d’un serpent, à l’intérieur, c’est-à-dire la même figure qu’elle a à l’extérieur, donc on pourrait en déduire que c’est un serpent qui est enroulé ici ; nous avons vu cela à l’intérieur de cette pyramide à Cuicuilco.
Et aussi, maître, nous avons pu vérifier que chaque pyramide a une sagesse, c’est-à-dire qu’elle est spécialisée dans quelque chose. Par exemple, dans celui-ci on saisit l’origine de l’humanité, l’origine des humains…
Samael Aun Weor : Bien sûr! Chaque secteur est différent. C’est vrai! Il contient différents aspects doctrinaux…
Étudiant : Oui. Ici maître, nous avons vu qu’avant la construction de ces pyramides comme vous nous l’expliquez dans le livre de la Doctrine Secrète de l’Anahuac, de grandes « cabanes » étaient faites, en rotin et puis il y en avait beaucoup autour de cette pyramide et puis vint la construction des pyramides, mais avant la construction des pyramides il y avait de grandes huttes…
Samael Aun Weor : Oui, avant la construction des pyramides, l’Atlantide était encore en pleine activité.
Les pyramides datent de l’époque de l’Atlantide. Comme le grand Tenochtitlán, ce n’est pas encore une civilisation Nahua. Ce n’est pas comme ces Espagnols « super-civilisés » qui sont venus ici croient, qui croyaient que c’était de l’an 1325, ailleurs, c’est faux.
La culture de l’ancienne Tenochtitlán (comme des terres sacrées des Mayas, etc., etc.), date de l’époque de l’Atlantide, des milliers et des milliers et des milliers d’années avant l’arrivée des Espagnols.
Eh bien, une civilisation ne va pas surgir, comme le croient ces idiots de Gachupins, du jour au lendemain, en l’espace d’environ 100 ou 200 ans? C’est absurde!
Étudiant : Maître, il en va de même pour les pyramides Égyptiennes (comme vous nous l’avez dit) de cette époque, de l’époque passée des Atlantes, n’est-ce pas, elles ne sont pas des Lémuriens?
Samael Aun Weor : Non, Atlantes!
Étudiant : Mais ceux-ci ont été fabriqués en premier?
Samael Aun Weor : Oui. Les pyramides de l’ancien Mexique sont antérieures à celles de l’Égypte. Précisément, à l’époque où l’Atlantide existait, nous avions deux lieux de pèlerinage : l’un, eh bien, était ici au Yucatan, les terres des Mayas, en général, et l’autre était Teotihuacán ; deux lieux de pèlerinage… Je dis : c’était un lieu, y compris Teotihuacán et le Maya ; et l’autre endroit était l’Égypte.
Parfois les pèlerinages partaient pour l’Égypte et d’autres fois ils partaient pour le Mexique. Et ces pèlerinages étaient faits à travers l’Atlantide; mais ceux construits au Mexique sont plus anciens que ceux d’Égypte.
Donc, c’étaient des lieux de pèlerinage : soit on allait en Égypte, soit on venait ici. Et il y avait de nombreux royaumes à travers le pays, des royaumes merveilleux, de grandes cultures, florissantes, pleines d’une grande sagesse, extraordinaires…
Par exemple : il faut voir le cas du dieu Pacal, qui n’est pas son vrai nom (ils lui ont donné ce nom), mais, pour se comprendre, on l’appellera « Pacal ». Autrement dit, celui qu’on appelait à Palenque « l’astronaute », n’est-ce pas? il n’y a rien de tel, que ce soit un astronaute; ce n’est pas vrai, non! Examinons, par exemple, les cuirasses qu’il porte : il a neuf colliers qui nous rappellent qu’il est un homme qui a travaillé dans la forge des cyclopes (un vrai humain)…
Musée Anthropologique de Mexico. Robe Funéraire du roi Pakal de Palenque (7e siècle)
Trois colliers, ou colliers ici à la gorge, révèle ainsi l’homme qui a réussi à cristalliser, en lui-même, les trois forces supérieures de la nature et du cosmos.
Ensuite, il a dix anneaux (un anneau à chaque doigt), ce qui indique, parfaitement, l’homme qui a réussi, alors, totalement, à s’auto-réaliser intimement, dans l’ensemble des dix sephiroth de la Kabbale, tels qu’ils sont (réalisés en toute auto-réalisation intimité)…
Quant à une sphère qu’il portait (il la portait, je crois, à un doigt ici), dans sa main droite, et de l’autre un cube, dans l’autre main (il paraît qu’il portait le cube à gauche et la sphère à droite, quelque chose comme ça), représente clairement qu’il possédait la pierre cubique, c’est-à-dire la pierre philosophale.
Et la sphère? Indique la perfection; il avait pleinement le droit d’utiliser déjà la sphère.
Car gardez à l’esprit que nous utilisons ici la croix, comme instrument de Christification, d’auto-réalisation, d’élimination, etc., etc., etc., mais quand on a déjà réalisé tout ça, quand on est déjà un auto-réalisé parfait, alors on gagne la sphère, on a le droit d’utiliser la sphère, on peut utiliser la sphère, parce que c’est déjà fait, on l’as fait… La croix est l’instrument, mais quand on s’est totalement auto-réalisé, on porte la sphère. Donc, ce dieu Pacal (c’est comme ça qu’on l’appelle, parce que c’est comme ça qu’on lui a donné ce nom conventionnel), parce qu’il porte la sphère…
Étudiant : Maître, et quel est le vrai nom du dieu Pacal?
Samael Aun Weor : Je n’ai pas investigué, je n’ai pas investigué… Ensuite, l’entrée du sépulcre est scellée avec une pierre triangulaire, très bien fait! Pour nous rappeler le saint Triamatzikamno; à un homme qui a cristallisé, en lui-même, les trois forces premières de la nature et du cosmos ; à un humain parfait…
Il faut descendre là où se trouve la tombe. Cela revient à dire que « pour monter, il fallait d’abord descendre »…
Eh bien, ils l’ont enterré avec six décapités; ils ont décapité six hommes pour enterrer Pacal; ils leur ont coupé la tête dans le sang, (c’est vraiment barbare! n’est-ce pas?) Avec cela, ils ont voulu insinuer qu’il était un homme qui a éliminé tous les agrégats psychiques, dans leur intégralité.
Car si l’on pense à l’étoile à six pointes (qui est l’étoile de Salomon), qui jaillit du chaos du microcosme humain ; si nous pensons à cette phrase : « lux in tenebris lucet » (la lumière jaillit des ténèbres, la lumière venant des ténèbres, la lumière vient des ténèbres, n’est-ce pas? Du chaos jaillit l’étoile à six pointes).
L’étoile à six pointes est profondément significative, c’est le sceau de Salomon. Ses six pointes sont masculines ; ses six creux d’entrées, entre bout et bout, sont féminines. Total : elle possède douze radiations, qui se cristallisent à travers l’alchimie, dans les douze constellations du zodiaque…
Mais alors, pensons au sixième mystère, au sixième mystère, sans lequel le vingt-quatrième mystère (qui dans le tarot est le tisserand) ne fonctionnerait pas, il ne fonctionnerait pas. comment cela fonctionnerait-il? Ce n’est qu’à travers le sixième mystère que le vingt-quatrième mystère peut fonctionner.
Dans le vingt-quatrième mystère est contenu le premier mystère ; mais le sixième mystère est essentiel pour que le vingt-quatrième mystère fonctionne (celui du grand œuvre). Et ce sixième mystère, eh bien, c’est celui de l’amoureux, l’amour, et qui appartient à la région de Tiphereth de la Kabbale Hébraïque, c’est-à-dire à la zone Christique de l’être humain dans l’Arbre de Vie, n’est-ce pas? Ceci quand il est étudié kabbalistiquement…
Eh bien, il est l’âme humaine Christifiée de Pacal, qui a accompli la Christification parfaite et la décapitation de tous ses agrégats psychiques ; une âme qui a traversé la « décapitation de Jean-Baptiste », une âme qui est passé par la « décapitation des innocents », et qui est devenue complètementCchristifiée.
Pour témoigner de cette terrible vérité, ils décapitèrent six hommes, les enterrèrent avec Pacal et scellèrent le tombeau…
Étudiant : Monsieur, cela signifie-t-il également qu’il symbolise également les vingt-quatre anciens…?
Samael Aun Weor : Eh bien, ces vingt-quatre anciens (qui sont à l’intérieur) sont vingt-quatre parties de l’Être. Nous avons déjà dit que le zodiaque a vingt-quatre maîtres. Il existe de nombreux témoignages, de nombreux livres où sont donnés les noms des vingt-quatre maîtres du zodiaque, soit vingt-quatre ordres d’adeptes.
Eh bien, mais les vingt-quatre anciens du macrocosme sont une chose, et les régisseurs à l’intérieur de nous-mêmes en sont une autre. Les pouvoirs des vingt-quatre anciens sont situés autour de la glande pinéale : des atomes ou des dieux atomiques, qui s’éveillent et se développent lorsqu’on parvient à la Christification.
Ainsi, si un homme parvient à la résurrection, les vingt-quatre anciens à l’intérieur de nous (les vingt-quatre parties de l’Être, qui sont fondamentaux), jettent leurs couronnes de triomphe et de victoire aux pieds de l’agneau de dieu, c’est-à-dire aux pieds du Christ intime.
Mais bon, pour ne pas dévier du dieu Pacal, réfléchissons maintenant à la question du couvercle sépulcral, qui se situe, justement, sur la tombe. Beaucoup, qui examinaient cette couverture (dont ce Ferriz, avec sa division) pensaient qu’il s’agissait d’un astronaute. Ce n’est pas exact! Oui, nous ne nions pas qu’il existe des signatures de Mars ; nous ne le nions pas. Nous ne nions pas qu’il soit un initié de l’occultisme Martien, je l’accepte, correct! Mais une chose est cela, et une autre chose est qu’il a été un Martien, ou un habitant d’une autre planète. Ce n’est pas vrai…
La croix de canne qui apparaît là (canne de maïs), d’où elle semble descendre, est claire vous savez que le maïs, le blé (s’il vous plaît quelqu’un masse-moi là sur mes doigts, qui me font tellement mal d’avoir tellement frappé la machine à écrire).
Étudiant 5 : Oui, maître…
Samael Aun Weor : Comme je l’ai dit : le maïs, le blé et aussi le riz, maïs, blé et riz, savez-vous ce qu’ils représentent? Le mercure de la philosophie secrète. Ce mercure est l’âme métallique du sperme sacré, ou en d’autres termes, parlant plus concrètement, nous dirions qu’il représente, dirions-nous, les germes de la semence humaine, la semence sexuelle. C’est donc profondément significatif…
Le maïs était adoré, très vénéré, chez les anciens Nahuas, Mayas, Toltèques, Zapotèques, etc., etc., etc., parce qu’il ne représente rien de moins que la semence, et parlant d’une manière plus transcendantale, nous dirions : il représente « l’âme métallique du sperme », produit des transformations du sperme sacré, ou exiohehari.
Alors, puisque dans la semence se trouve la réalisation de l’être humain, eh bien, il fallait rendre le culte dû.
Et dans une croix, la canne de maïs, indique le croisement légitime du lingam-yoni, pour fabriquer le mercure de la philosophie secrète et ainsi réaliser la Christification.
Il semble que cet homme se détache de cette canne, n’est-ce pas? Que beaucoup croient être un dispositif de conduite mécanique, de l’astronaute). Il n’y a rien de tel! Ce qui apparaît ici, comme se détachant, signifie que par la croix on peut descendre, aussi bien que par la croix on peut monter. La croix bien entendue, comme il faut l’entendre, et qu’il faut savoir comprendre…
Et il y a d’autres signatures, par exemple, en dehors de Mars, il y a d’autres signatures là-bas ; je pense que Sirius y apparaît aussi, et tout ça. Je n’ai pas bien regardé cela. Mais, en tout cas, il représente un Avatar, au sens plein du terme ; un Avatar, un homme qui a délivré un message à l’humanité, chez les Mayas ; un véritable Avatar ou messager des mondes supérieurs.
Un masque de jade lui est posé, pour allégoriser sa grandeur et que personne n’est digne de regarder son visage… Un masque de jade… Le masque, bien sûr, a été endommagé au fil du temps, mais ils l’ont restauré, le masque de jade
Les habitants de Palenque regrettent beaucoup que ces messieurs ici, de la science officielle, soient allés piller la tombe, et plus encore qu’ils aient pris le crâne. Le président Echevarría a été ou était sommé de restituer ce crâne. Ils n’ont pas voulu le rendre; et c’est dommage, c’est vraiment dommage…
J’explorais toute cette région, autour de Palenque (proprement dit) et j’ai trouvé, eh bien, une ville funéraire (un temple, une grande tombe, etc.), cachée sous terre, dans la jungle. Je suis allé dans la jungle, pour explorer; j’ai traversé un ruisseau en marchant; je suis allé dans les montagnes, j’ai exploré, visité des tombes et toutes ces choses… Tout cela est assez intéressant…
Mais une chose est le grand message qui est reçu à Palenque, et une autre chose est, par exemple, le message qui est reçu à Cancun. Chaque zone a son propre message, chaque zone a son propre message.
Par exemple : il ne serait pas possible de comprendre la descente du Logos (dans son aspect trinitaire, en tant que saint Triamatzikamno, pour fertiliser la matière chaotique et finalement atteindre le monde), il ne serait pas possible de le comprendre sans la vie, la mort, la passion et la résurrection de notre seigneur Quetzalcoatl.
C’est pourquoi dans un temple Maya, dédié à Quetzalcoatl, j’ai trouvé la descente du Logos sur le portail principal, n’est-ce pas? Avec les pieds de haut en bas vers la matière, n’est-ce pas? Mais aussi, juste là, est gravée dans la pierre, toute la vie, la passion, la mort, la résurrection et l’ascension de notre Seigneur Quetzalcoatl.
La doctrine de notre Seigneur Quetzalcoatl était admise chez les Mayas, sous la forme dans laquelle les Nahuas la portaient, précisément pour nous expliquer cette vérité théologique : la descendance du Logos dans la matière et sa remontée plus tard. Avec le drame de Quetzalcoatl, la descente et la remontée du Logos peut être entièrement expliqué dialectiquement…
Ch : C’est la partie que nous faisons comme introduction au livre que nous écrivons, maître, justement, l’évangile, le message de Quetzalcoatl…
Samael Aun Weor : Impressionnant!
Étudiant : À propos des sacrifices humains au dieu Tlaloc, dans le Mexique précolombien, que pouvez-vous nous dire, maître?…
Samael Aun Weor : À propos de Tlaloc (dont il ne fait aucun doute que vous êtes un prêtre), j’ai fait contre lui une récrimination dans le monde causal. Je lui ai demandé… « Pourquoi avez-vous autorisé les sacrifices humains (sacrifices de bébés et de jeunes filles), dans le monde physique? »
Il a répondu: « Je n’étais pas à blâmer pour cela, je n’ai jamais exigé ce genre de sacrifice. »
Il m’a aussi dit : « Je reviendrai, dans la nouvelle ère du Verseau!… »
Je comprends qu’il va prendre un corps physique à l’âge d’or, après la grande catastrophe qui s’annonce ; il prendra un corps physique, à l’âge d’or de la future sixième race racine.
Étudiant : La résurrection des dieux viendra-t-elle alors?
Samael Aun Weor : La résurrection des dieux approche, et Tlaloc va prendre un corps physique. Il va rétablir le culte des dieux saints ; les cultes sacrés aux dieux, rentreront, à nouveau.
Jusqu’à présent, le monothéisme exclusiviste (rejetant les dieux saints), le monothéisme n’a pas exactement été une bénédiction pour l’humanité, mais bien au contraire : une malédiction.
Lorsque l’humanité a rejeté les dieux, elle s’est corrompue et a atteint le degré où elle se trouve aujourd’hui.
Étudiant : Les dieux sont-ils les intermédiaires?
Samael Aun Weor : Les dieux sont les intermédiaires entre l’humanité et le Père éternel cosmique commun.
Étudiant : Parce qu’alors la doctrine du maître Jésus, le Christ, qui a prêché de ce dieu unique, a été autorisé, et ce fut la cause, je pense, de l’élimination de tous les autres dieux. Y avait-il un but spécial…?
Samael Aun Weor : Eh bien, notre Seigneur Jésus Christ était polythéiste; Jésus de Nazareth n’était pas un monothéiste.
Étudiant : C’est une autre figure symbolique de la montée du feu à travers la moelle, et le calice est au-dessus. Le même est celui-ci, enseignant; celui-ci est plus bizarre n’est-ce pas?
Samael Aun Weor : …il y a une sagesse énorme, mais il faut méditer, si on veut arriver aux vérités contenues dans ces pièces archéologiques…
Par conséquent, Jésus, le Christ n’était pas monothéiste, mais totalement polythéiste.
Ainsi, dans l’évangile, Jésus dit : « Vous êtes des dieux (Hébreu Elohim אלהים)! » Jésus n’a jamais parlé contre les dieux. Quand? Ce sont des choses du peuple; Jésus ne s’est jamais dressé contre les (Elohim אלהים) dieux saints!…
Étudiant : Dans les évangiles, où? Dans aucun type d’évangile ils ne sont mentionnés…
Samael Aun Weor : Avec certitude! Dans l’évangile de Jean, Jésus dit : « Vous êtes des dieux (Hébreu Elohim אלהים)! » Rappelez-vous les mots, où Jésus, le Christ a dit:
« Moi et mon Père sommes un. Alors les Juifs reprirent des pierres pour le lapider. Jésus leur répondit : Je vous ai montré beaucoup de bonnes œuvres de la part de mon Père ; pour laquelle de ces œuvres me lapidez-vous? Les Juifs lui répondirent, disant : Pour une bonne œuvre, nous ne te lapidons pas ; mais pour le blasphème ; et parce que toi, étant un homme, tu te fais Dieu. Jésus leur répondit : N’est-il pas écrit dans votre loi :
« J’ai dit, vous êtes des dieux (Elohim אלהים); et vous êtes tous des enfants du Très Haut (Elion עליון)? » – Psaume 82 : 6
S’il les appelait des dieux (Elohim אלהים), à qui la parole (le Logos) de Dieu vint (dans Tiphereth), et l’Écriture ne peut être cassée ; vous dites de celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde, Tu blasphèmes ; parce que j’ai dit, je suis (Tiphereth) le Fils de Dieu? » – Jean 10 : 30-36
Étudiant : On parle des quatre trônes dans « l’Apocalypse », des sept anges, des sept dieux…
Samael Aun Weor : Dans « l’Apocalypse (Révélation) » on parle d’anges. Que sont les anges? Ce sont les mêmes dieux de « l’Apocalypse », de l’évangile ; ce sont tous des dieux, donnez-leur maintenant un autre nom? C’est autre chose; mais ce sont les dieux.
Étudiant : Quel est l’ordre des anges, des archanges?…
Samael Aun Weor : Des anges, des archanges… et quoi d’autre?…
Étudiant : Des trônes?
Samael Aun Weor : Non!… Principautés, Puissances, etc. Eh bien, il faudrait que je remonte pour me souvenir, attendre et rafraîchir, voyons : Anges, Archanges, Principautés, Puissances, Vertus, Dominations, Trônes, Chérubins, Séraphins, eh bien, et encore plus. Seuls ceux-ci sont mentionnés, mais il y en a beaucoup d’autres… Beaucoup d’autres. Mais, de toute façon, les anges sont les dieux (les Elohim אלהים) eux-mêmes… Les anges, les dieux eux-mêmes.
Étudiant :…Chérubins, Séraphins…
Samael Aun Weor : Séraphins…, ce sont les dieux saints. Maintenant, nous ne voulons pas dire que parce que nous adorons les dieux saints, nous allons sous-estimer le Père éternel cosmique commun.
Nous n’avons jamais renié le Père éternel cosmique commun ; ce qui existe, c’est qu’il y a deux unités…… Aelohim est le Père éternel cosmique commun, et l’autre unité est Elohim.
Aelohim est le Père éternel cosmique commun, l’omnimiséricordieux, l’infinitude qui soutient tout ; Aelohim… Elohim est différent, Elohim est l’armée de la parole, l’armée de la voix.
« Elohim אלהים » est (l’Elah אלה Hébreu) un mot féminin uni à (im ים) un pluriel masculin, ainsi, Elohim אלהים signifie : « déesses et dieux ». Une religion sans déesses, par exemple, est une religion qui se trouve à mi-chemin de l’athéisme, parce que Elohim אלהים signifie déesses et dieux.
Ce sont les deux unités : Aelohim-אאלהים est la première unité, qui ne peut pas être ciselée, qui ne peut pas être représentée (Aelohim-אאלהים, la première unité). La deuxième unité Elohim אלהים est pluralisé : l’armée de la voix, l’armée des dieux, la grande parole (ils peuvent être ciselés)……
Si nous voulons représenter Aelohim- אאלהים. Écoutez, Aelohim-אאלהים, c’est-à-dire le Père éternel cosmique commun, ne peut pas être ciselé…
בראשית ברא אלהים
Elohim Bara Barashith
ברית-אש בר אאלהים
Aelohim Bar Esh-Brit
Alliance du Fils du Feu d’Aelohim
« Enfants de la terre! Écoutez vos instructeurs, les enfants du feu… » – Samael Aun Weor
Le Dieu Pacal et le Katun 13
Maintenant, il convient que nous étendions notre conférence sur Palenque. J’explore depuis longtemps ce tombeau merveilleux ; en effet réellement, Palenque réserve de magnifiques surprises…
Autour de Palenque, nous avons pu découvrir toute une ville funéraire encore à découvrir ; dommage que de nombreux temples et tombes s’y trouvent, encore aujourd’hui, entièrement recouverts par la jungle. Nous nous émerveillons de tout cela; nous avons trouvé des histoires extraordinaires parmi les habitants de Palenque…
Un cas insolite me vient à l’esprit, celui d’une certaine dame des États-Unis. Elle est arrivée à Palenque et a consulté un de nos amis qui y vit depuis de nombreuses années, se consacrant exclusivement à investiguer sur les questions Mayas. La dame elle-même avait besoin des services de cet homme, expert en ces matières, et celui-ci ne pouvait naturellement pas refuser de la servir dans tout ce qu’il pouvait.
Elle le pria de la guider, et il offrit volontiers d’être son guide. Mais voici le cas insolite : au moment où le guide s’apprêtait à monter dans la voiture, elle l’a arrêté et lui a dit : « C’est toi le guide, mais tu vas devoir m’obéir ; Je vais te dire où dans la forêt nous devons nous arrêter »…
Bien sûr, l’homme était perplexe : « Comment est-il possible qu’elle me demande de lui servir de guide, et puis il se trouve que c’est elle qui doit me guider? Après tout, qui est le guide de qui? »
Ils sont montés dans la voiture; la dame, qui était accompagnée de son mari, arrivant à un certain endroit, lui ordonne de s’arrêter en disant : « Le voici! Bien sûr, notre guide était étonné, il ne savait pas ce que c’était. Elle sort de la voiture et demande au guide de sortir aussi. Son mari sort, ils verrouillent la voiture, et elle dit : « Nous allons entrer directement ici par cette montagne, et nous allons atteindre l’endroit ».
Une dame récemment arrivée des États-Unis procédait de cette manière. C’était suffisant pour garder l’homme assez intrigué, confus (car, après tout, il ne savait pas de quoi il s’agissait).
La dame, devant tout le monde, s’est frayé un chemin à travers la montagne et tout à coup elle s’est arrêtée : « C’est ici! », dit-elle ; puis elle a soulevé des pierres, et à l’étonnement du guide, un squelette humain est apparu, il y a une tombe…… elle est revenue et a recouvert cette tombe et a dit : « allons-y! ». Ils la suivirent, son mari et le guide. Ils retournèrent à leur voiture, retournèrent à la ville de Palenque, payèrent le guide et partirent ; il n’a plus jamais entendu parler de cette dame…
Au milieu de la forêt, j’arrivais aussi à l’endroit; évidemment, c’est le guide qui m’a conduit sur le site et m’a dit : « Il y a un centre magnétique ici. Pourriez-vous, maître, me dire où se trouve le centre magnétique à cet endroit? »
J’ai senti, télépathiquement, que le centre magnétique était précisément là où se trouvait la tombe, caché parmi les pierres. Je lui ai dit : « Ici il n’y a plus de force magnétique… »
« N’y a-t-il pas un autre endroit? » demande le guide.
« Eh bien, faisons demi-tour, » lui dis-je. Nous nous sommes retournés, et j’ai répété : voici le pôle opposé du centre magnétique…
Le guide s’est exclamé: « Écoutez, vénérable maître, excusez-moi, retournons au centre maintenant. » Et nous sommes retournés au centre, il a soulevé les pierres et le squelette est apparu; c’est alors que le guide m’a raconté l’étrange histoire, que je vous ai racontée…
Il y a beaucoup d’histoires ici, très intéressantes, à Palenque, qui attirent beaucoup d’attention. Ce guide est en contact avec les Mayas, et il est très intéressant de savoir que… les Mayas sont encore en vie…
Par exemple, on a demandé à un vieil homme Maya : « Quand pensez-vous que la grande catastrophe qui menace le monde terrestre arrivera? »
Il a répondu: « Dans le Katun-13. »
« Votre fils le verra-t-il? »
Réponse : « Non, mon fils ne le verra pas. »
« Votre petit-fils le verra-t-il? »
« Oui, mon petit-fils le verra. »
« En quelle année arrive Katun-13? »
Réponse : « En l’an 2043… »
Une grande catastrophe est en effet attendue, et les Mayas sont bien informés. Quelqu’un là-bas, dont je ne citerai pas le nom, une haute autorité en matière d’anthropologie purement officielle et profane, affirmait que « les Mayas n’avaient pas de connaissances astronomiques », que « c’étaient des gens ignorants » ; mais la réalité des choses est qu’ils connaissaient l’astronomie à fond, à fond.
Aujourd’hui encore, ils passent leur temps à faire de grands calculs mathématiques. Les Mayas ont enseigné à mon ami, le guide, un système, par exemple, basé sur des grains de maïs et de café, avec lequel ils effectuent des opérations arithmétiques en quelques millièmes de seconde…
Un grand expert en mathématiques, un grand professeur, s’y est présenté ; mon ami lui a dit : « Vous savez très bien utiliser les ordinateurs, vous êtes professeur de maths, mais je vous défie de faire une opération mathématique ; je vais utiliser les procédés Mayas, avec du maïs et des grains de café, et vous utilisez votre ordinateur. »
L’homme a dit: « Vraiment, vous en savez peut-être beaucoup, mais vous me manquez de respect… »
« Non monsieur, je ne cherche pas à vous manquer de respect ; je veux juste vous montrer que les Mayas sont des experts en mathématiques, et que pendant que vous manipulez un ordinateur pour faire vos calculs, ici les mêmes calculs sont effectués plus rapidement que sur n’importe quel ordinateur, et si vous voulez, faisons l’expérience… »
Ce professeur, plein d’un immense orgueil, préféra se taire, et regardant sa montre à gauche ; il a dit: « Il était en retard », et il est parti…
Vous voyez donc que les Mayas ne sont pas ignorants comme les gens le supposent. Ils ont tort : les Mayas, en réalité, passent leur temps à faire des calculs astronomiques, et ils savent qu’un monde s’approche de la terre que les mêmes savants ont déjà baptisé du nom d’« étoile Barnard » ; cette planète appartient à un autre système solaire, a une orbite énorme et est dangereusement proche de notre planète Terre. Lorsque «l’étoile Barnard» est visible à l’œil nu, des événements catastrophiques extraordinaires se produiront; ceci n’est pas ignoré par les Mayas.
Alors, comme il est écrit dans le katun-13, cette gigantesque planète, par force magnétique, attirera tout le feu liquide à la surface de notre terre, et des volcans éclateront ici, là et partout, et de terribles tremblements de terre auront lieu, des tsunamis effrayants et grands cataclysmes; ce sera, selon les Mayas, dans le katun-13 (année 2043) ; ils se préparent pour cet événement, et ils disent : « mon fils ne le verra pas, mon petit-fils le verra »…
Ils sont donc très sages. Selon leurs doctrines, le cataclysme est décrit : « à l’approche maximale de « l’étoile Barnard », une révolution des axes terrestres aura lieu, les mers changeront de lit et les terres actuelles seront dévorées par les océans ; alors, il y aura un changement radical de toute la physionomie géologique de notre planète »…
Le plus étonnant est que les Mayas, depuis l’Antiquité, jugeaient l’humanité actuelle ; ils disent que « à l’approche du katun-13, les hommes de deux jours seraient vus dans les rues de toutes les villes du monde, qui seraient la honte de cette race racine »… Bon, scrutant un peu ceux mentionné « hommes de deux jours », nous avons fini par découvrir qu’ils étaient homosexuels) ; « le monde entier sera perverti par l’homosexualité et le lesbianisme » (ce qui est actuellement en train de se réaliser).
« Le grand feu universel », prédit par Nostradamus, était déjà écrit dans le katun-13 des Mayas ; ils disent que : « le feu comme le sang brûlera partout », et que : « il brûlera tout ce qui a la vie ». Ainsi, les Mayas n’ont rien ignoré de tout ce qui est à venir…
Eh bien, encore une fois, j’étais dans la tombe du dieu Pacal; je l’ai trouvé extraordinaire. Évidemment, un tel sépulcre possède un grand couvercle en pierre, dûment sculpté, ciselé. Don Pedro Ferriz (homme distingué voué à de grandes recherches, en matière de soucoupes volantes, un homme sérieux dans ces études), suppose que la plaque de pierre qui recouvre le sépulcre indique que le dieu Pacal des Mayas était un astronaute ou un voyageur de l’espace..
À cet égard, malgré le fait que j’admire Pedro Ferriz, je suis désolé d’être en désaccord avec lui, car j’examinais attentivement cette grande plaque de pierre et j’ai pu vérifier, par moi-même et directement, que le dieu Pacal n’était pas, alors, un habitant d’une autre planète, comme le suppose Don Pedro Ferriz…
Sur cette pierre, qui pèse plusieurs tonnes et recouvre la tombe, apparaît une grande croix faite de tiges de maïs, et cela nous invite à réfléchir…
Chez les Mayas, ainsi que chez les Nahuas, Zapotèques, Toltèques, etc., le maïs est sacré, allégorise ou symbolise la semence humaine.
Par exemple, en Chine, en Inde, au Japon, etc., la semence humaine est allégorisée ou symbolisée par le riz ; et chez les peuples Chrétiens d’Europe et du Moyen-Orient, la semence était allégorisée ou symbolisée par le blé…
La croix, faite de tiges de maïs, est évidemment extrêmement significative, puisque nous savons bien que la croix est un instrument de libération, pas seulement de martyre. En fait, l’insertion du phallus vertical à l’intérieur du cteis formels, ils forment une croix…
Eh bien, et si une telle croix est faite avec des tiges de maïs, cela indique quelque chose d’extraordinaire : il est évident que des pouvoirs extraordinaires existent dans l’ens-seminis, à l’intérieur duquel l’ens-virtutis du feu est contenu. L’ens-seminis, ou entité du semen, ou sperme sacré de l’être humain, contient de formidables pouvoirs mystiques transcendantaux, que les Mayas ont soigneusement analysés dans leurs études, non seulement à Palenque, mais aussi à Cancun, Chichen Itza, etc.
Si les gens connaissaient le pouvoir qui existe dans l’ens-seminis, ils ne dépenseraient jamais leur énergie maladroitement, pour la satisfaction brutale des passions animales ; ils apprendraient plutôt à la transmuter.
Les Mayas connaissaient une telle science ; ils savaient, par exemple, que s’ils ne renversaient pas la coupe d’Hermès, c’est-à-dire s’ils ne commettaient pas l’erreur d’éjaculer l’ens-seminis, celle-ci se transmuterait en énergie créatrice. C’est ainsi que le cerveau est séminisé, et le semen est cérébralisé.
À la suite ou à la séquence d’une telle procédure, une troisième force s’éveille à l’intérieur de nous, qui est profondément divine (je fais référence au feu sacré). Lorsqu’elle remonte la colonne vertébrale de l’homme, elle nous transforme radicalement et fait de nous de véritables surhumains, comme le dieu Pacal…
Nous avons descendu l’escalier qui conduit au sépulcre du dieu Pacal ; une pierre triangulaire scelle l’entrée (maintenant que la pierre est mise de côté) ; le fait qu’une telle pierre soit triangulaire nous invite à penser à de nombreuses pierres triangulaires dans les cathédrales gothiques d’Europe.
Cette pierre triangulaire représenterait, pour le monde Chrétien, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, c’est-à-dire les trois forces de la nature : sainte affirmation, sainte négation, sainte réconciliation ; force positive, force négative, force neutre.
Évidemment, sans ces trois forces, il ne peut y avoir de création ; lorsque ces trois forces circulent dans des directions différentes, il n’y a pas de création ; lorsque ces trois forces s’unissent en un point donné, une création a lieu, une nouvelle unité cosmique surgit dans l’espace infini.
La même chose se produit avec le mariage parfait : l’homme est la force positive ; la femme la force négative ; la troisième force, la sainte conciliation, concilie les deux. Ces trois forces, unies, réalisent une nouvelle création, et un nouveau fils, une nouvelle progéniture, vient au monde.
Les Mayas ont compris tout cela, et le fait que la pierre qui scelle la tombe, la pierre qui scelle l’entrée du sépulcre du dieu Pacal, soit triangulaire, c’est intéressant…
Il y a un pectoral qui apparaît, très bien fait, sur la poitrine du Pacal ; très bien comptés, ces neuf colliers représentent le neuvième cercle Dantesque, « le puits de l’univers » ; au sein de l’organisme humain, « le puits humain », les organes créateurs, et indiquent que le dieu Pacal était un homme qui transformait le sperme sacré en énergie créatrice ; qu’il était un homme tout à fait chaste, droit dans le plein sens du terme ; un homme qui n’a jamais commis d’adultère, un homme qui n’a jamais forniqué…
Trois autres colliers apparaissent sur son cou, représentant les trois forces primaires de la nature et du cosmos ; ils indiquent que le dieu Pacal a réussi à cristalliser, dans sa nature, la force du Père, la force du Fils, la force de l’Esprit Saint : la sainte affirmation, la sainte négation, la sainte conciliation. C’est-à-dire que Pacal a réussi à façonner ces trois forces en lui-même…
Pacal a dix anneaux, à ses dix doigts ; cela nous indique les dix sephiroth de la Kabbale Hébraïque, un homme rempli de vertus extraordinaires, un homme magnifique, un véritable Avatar ou messager pour l’humanité de cette époque ; un homme qui a donné aux Mayas une grande connaissance.
Dans l’une de ses mains apparaît un cube, une pierre cubique, et dans l’autre une sphère. La pierre cubique nous dit que cet homme était vraiment si sage qu’il possédait la pierre philosophale, c’est-à-dire la pierre de la vérité ; c’était un homme qui avait incarné la vérité, qui avait trouvé la vérité. Et quant à l’autre, quant à la sphère, elle nous dit que c’était un homme parfait, un homme qui avait éveillé sa conscience, un homme qui jouissait d’une sagesse infinie…
Mais il y a quelque chose de terrifiant dans tout cela, quelque chose qui étonne, qui fait peur : il s’avère qu’ils l’ont enterré avec six personnes décapitées. C’était une affaire purement symbolique, mais les six personnes décapitées sont des faits concrets : ils ont décapité six hommes et les ont enterrés avec lui ; bien sûr, pour transmettre un message à la postérité.
Cependant, il faut reconnaître que la manière de transmettre ce message était très sanglante : six hommes décapités! Les Mayas entendaient par là que cet homme avait éliminé tous ses défauts psychologiques ; parce que quand on consulte la Kabbale Hébraïque, on voit l’étoile à six pointes de Salomon le Roi : six pointes sont masculines, et les six entrées profondes, entre pointe et pointe, sont féminines ; les douze radiations sont décomposées, à travers l’alchimie, dans les douze constellations du zodiaque ; c’est ainsi que le zodiaque apparaît…
Eh bien, mais le nombre six, sans doute, rappelle aussi les « amoureux », l’amour, la passion, etc., c’est-à-dire que cet homme a éliminé de lui-même tous ses défauts passionnels, tous les agrégats psychiques qui le rendaient laid.. Il atteignit la perfection maximale, et le témoignage pour la postérité fut les six personnes décapitées… Si un peu de Kabbale Hébraïque n’étaient pas connus, alors il serait impossible de trouver la signification des six décapités…
Le tombeau du dieu Pacal est immense. Il porte un masque de jade, qui a été reconstitué par le musée d’anthropologie ; ce masque de jade nous indique donc que son visage était si parfait qu’il devait être voilé aux profanes (un visage d’homme-dieu)…
Par conséquent, tout un monument a été construit pour enterrer ce grand Avatar ou messager des Mayas qui s’appelait « Pacal ».
Pacal était un homme qui travaillait avec le maïs, c’est-à-dire avec la semence sexuelle. Sur la plaque ou le couvercle de pierre qui recouvre la tombe de Pacal, il apparaît comme descendant de la croix ; alors ce n’est pas, comme le pense don Pedro Ferriz, que cet homme pilote un appareil capable de voyager dans l’espace.
Un symbole de la planète Mars y apparaît également, pour indiquer que le dieu Pacal était lié d’une manière ou d’une autre à la planète Mars ; mais cela ne veut pas dire qu’il était un habitant ou un extraterrestre de Mars, mais plutôt un homme influencé par le rayonnement Martien, un homme de caractère, un homme énergique, un homme fort qui a su enseigner leur doctrine aux Mayas…
En investiguant donc toutes ces questions Mayas, tous ces aspects anthropologiques, nous devons devenir profondément réflexifs…
Nous sommes à une époque où la grande catastrophe approche, selon les Mayas ; « avant que la grande catastrophe n’arrive sur la planète », disent les Mayas, « il y aura des guerres dans toute la rondeur de la terre », et cela est également affirmé par les prophéties de différents sages ; nous voyons des guerres partout, le monde du Moyen-Orient, par exemple, est actuellement confronté à une nouvelle guerre ; il y a des calamités, et par tas, avant le katun-13.
Pensons que le fond des mers est fissuré ; il y a des fissures si profondes, par exemple dans le Pacifique, qu’elles mettent déjà l’eau en contact avec le feu liquide qui existe à l’intérieur du monde ; en conséquence ou corollaire, à ce moment des pressions et des vapeurs se forment à l’intérieur, à l’intérieur de la terre ; de telles vapeurs et pressions sont à l’origine, en fait, de formidables tremblements de terre ici, là et partout ; elles provoqueront aussi de grands raz de marée évidemment, la terre est en grande agonie.
Les scientifiques le savent. Par exemple, les poissons de la vaste mer s’épuisent à cause de la pollution ; l’air est pollué et beaucoup d’êtres humains tombent malades à cause de la pollution de l’environnement…
Certains hommes de science disaient que « si nous ne pouvons pas corriger le smog, avant 40 ans, au moins la moitié de l’humanité aura péri ».
Les terres sont en train d’être stérilisées en ce moment, elles ne sont plus capables de produire tout ce dont l’humanité a besoin. Il faut savoir qu’il y a 4 500 millions d’habitants sur la surface de la terre, et les terres arables, à l’heure actuelle, ne peuvent pas nourrir ces 4 500 millions d’êtres humains ; ainsi, la terre, en ce moment, est dans une grande agonie…
Les fruits de la terre ont été frelatés par les je-sais-tout ; ceux-ci avec leurs ruses, incontestablement, ont causé de grands dégâts : ils ont greffé des plantes avec d’autres plantes, et des fruits qui ravissent l’œil apparaissent, mais qui ne possèdent pas les mêmes pouvoirs vitaux que les vrais fruits, et il est absurde d’essayer de corriger la nature ; elle sait ce qu’elle fait…
Alors, mes chers amis, après avoir parcouru les terres des Mayas et avoir découvert ce qui arrive au monde dans le katun-13, je voulais vous parler ce soir, pour vous dire……que les Mayas n’étaient pas ignorants, et que tous les peuples du Mexique étaient dotés d’une formidable sagesse…
Cette conférence a été originellement publiée en Anglais par Glorian. La conférence originale est Dialogue on the Mayan and Nahua Cultures, Pacal, and Palenque.