Uranus
Uranus
Grec Ουρανος, Ouranos, « ciel, paradis », du Chaldéen pour Ur = « feu », Anas = « eau ». La planète de la sexualité.
Sur l’Arbre de Vie, Uranus est lié à Chokmah.
« Uranus était un Roi Divin de l’Atlantide primordiale. Uranus nous rappelle UR-ANAS, le Feu Primordial et l’Eau. Cela équivaut à l’établissement du Premier Culte Luni-Solaire de l’Androgyne « IO », en d’autres termes, l’apparition de l’Astrologie Chaldéenne ; par conséquent, Uranus, l’Asura-Maya, le Premier Atlante, est en fait le premier révélateur des Mystères Sexuels. » – Samael Aun Weor, Les Mystères de la Vie et de la Mort
« Les glandes sexuelles sont contrôlées par la planète Uranus qui est la planète dominante de la constellation du Verseau. » – Samael Aun Weor, Le Mariage Parfait
« Uranus a un cycle sexuel de quatre-vingt-quatre ans. Uranus est la seule planète qui dirige ses deux pôles vers le soleil. Les deux pôles d’Uranus correspondent aux aspects masculin et féminin. Ces deux phases alternent par périodes de quarante-deux ans chacun. Les stimuli alternatifs des deux pôles d’Uranus régissent toute l’histoire sexuelle de l’évolution humaine. Les époques où les femmes se déshabillent pour montrer leur corps alternent avec les époques où les hommes se parent. Les époques de prépondérance féminine alternent avec les époques de messieurs intrépides C’est l’histoire des âges. » – Samael Aun Weor, Le Mariage Parfait
« À Ouranos (Uranus, Ciel), Fumigation de l’Encens. Grand Ouranos, dont aucun répit ne connaît le cadre puissant, père de tous, de qui le monde est né; entends, parent généreux, source et fin de tous, pour toujours tourbillonnant autour de cette terrestre boule ; demeure des dieux, dont la puissance gardienne entoure le monde éternel de ses limites éternelles ; dont la poitrine ample et les replis encerclant la nécessité absolue de la nature tient. Éthérique, terrestre, dont le cadre tout-varié, azur et plein de formes, aucun pouvoir ne peut apprivoiser. Source omniprésente de Kronos (Cronos, Temps), à jamais bénie, divinité sublime, propice à un nouvel éclat mystique, et couronne ses vœux d’une vie divine. » — Hymne Orphique 4 à Uranus (trans. Taylor) (Hymnes Grecs C3e av. J.C. à 2e ap. J.C.)