Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Volonté Christ
Le cygne symbolise l’Amour.
Dans l’Éden, des cygnes d’une immaculée blancheur servent à la table des Dieux.
Dans l’Éden, les cygnes au plumage candide élaborent à l’intérieur de leurs jabots immaculés des aliments ineffables qu’ils déposent dans les coupes des Anges.
Les Anges boivent des nourritures de l’Éden. Des breuvages divins que le cygne élabore dans son jabot diamantin.
Le cygne Kala-Hamsa flotte sur les eaux de la vie.
Les combinaisons de la substance infinie sont merveilleuses.
Les eaux séminales se transforment en nourritures ineffables à l’intérieur du jabot du cygne.
Les continents, avec tout ce qui existe, sont sortis de la mer et ils retourneront à la mer.
Les élémentaux des arbres s’aiment eux aussi.
Le lit nuptial de ces êtres ineffables est formé des racines des arbres.
Ils s’unissent sexuellement sans répandre le sémen.
La semence pénètre ainsi dans le ventre de la femelle.
Lorsque la vie se cristallise, alors apparaît le fruit sur la plante.
C’est ainsi que la vie surgit du monde éthérique.
Le monde éthérique est l’Éden. De l’Éden naît la vie.
Écoutez-moi, ô Bouddhas ! Ne perdez pas votre sémen et vous retournerez à l’Éden.
Tout sort du Sexe, tout sort de l’Amour.
Le cygne symbolise l’Amour. Le cygne se nourrit de l’Amour. Dans un couple de cygnes, lorsque l’un des deux meurt, l’autre succombe de tristesse.
Toutes les vies qui palpitent sont une seule et même grande vie cachée dans les eaux séminales de la vie.
Mes chers enfants, vous êtes le Soleil et vous êtes la fourmi, vous êtes l’arbre paisible et solitaire, et l’aigle rebelle.
Nous sommes tous la Grande Vie, qui palpite dans chaque coeur.
Cette Grande Vie universelle est cachée dans le grand océan sexuel, dans le grand océan de l’Amour.
Le cygne à l’immaculée blancheur sert à la table des Dieux.
L’eau est le sémen.
Les combinaisons de la substance infinie sont prodigieuses.
Faisons la volonté du Père, dans les cieux comme sur la terre.
Ce chapitre est tiré de la Volonté Christ (1959) par Samael Aun Weor.