Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Les Soucoupes Volantes
Nous connaissons personnellement Salvador Villanueva Medina, l’homme qui a été sur Vénus. Salvador n’a rien de fantastique, et aucun déséquilibre. Salvador a été examiné par des psychiatres qui sont arrivés à la conclusion que c’est un homme normal, mentalement équilibré.
Salvador ne vit pas de son extraordinaire aventure, ni de son livre qui a pour titre : « Je suis allé sur la planète Vénus ». Ce gentilhomme, maintenant, est mécanicien de profession, il répare des automobiles. Il vit de ça. Nous-mêmes, sommes allés dans son
atelier et l’avons vu travailler. C’est une personne qui est très pratique. Son adresse ne sera pas divulguée sans autorisation. Nous nous limitons à seulement 2 choses : la première, donner témoignage que cet homme est un homme absolument sage, dédié à
son travail et à sa famille ; la deuxième, que cet homme est passé par une aventure formidable, mais ne vit pas d’elle.
Salvador Villanuera Médina raconta ce qui s’était passé et cela lui amena beaucoup de souffrance, parce que les coquins, les sceptiques de toujours, les imbéciles, se sont raillés de lui.
Salvador a été sur Vénus, sans aucun doute et a accompli le devoir d’informer ses semblables, malgré qu’ils se moquent de lui. Qui rigole de ce qu’il ne connaît pas est sur la voie d’être un idiot.
La 2e quinzaine d’août 1953, Salvador conduisait une automobile en direction de Laredo, et il emmenait des « gringos » qui voulaient retourner dans leur pays. Il est passé par de terribles péripéties. La voiture est tombée en panne. Ses compagnons de
route ont décidé de revenir au village le plus proche pour chercher une grue. Entre temps, dans le silence de la nuit, Salvador s’est mis sous la voiture dans l’intention de la réparer.
Quand il a voulu sortir de dessous la voiture, il a entendu quelqu’un s’approcher, car il a entendu des pas sur la route. Une voix étrange, en parfait espagnol, a demandé : « Qu’est-il arrivé à la voiture ? ». Salvador n’a pas répondu. Il s’est retrouvé face à un homme habillé de façon étrange, de petite mensuration, un mètre vingt approximativement.
L’étrange uniforme du visiteur, le visage blanc comme de l’ivoire, les longs cheveux blonds platine et ondulés qui tombaient sur ses épaules, la perfection de son visage, etc. ont terriblement surpris Salvador.
Salvador nous raconta que cet étrange visiteur portait une ceinture avec des perforations desquelles sortaient d’étranges lumières.
Salvador s’est limité à demander au mystérieux personnage s’il était aviateur. Le personnage a répondu que son avion, comme nous l’appelons, était à quelque distance d’ici. Après avoir dit ces paroles, le personnage alla entre les montagnes.
Salvador raconta qu’après cet événement, il résolut de dormir tranquillement dans sa voiture. Peu de temps s’était écoulé, quand il fut réveillé par des coups donnés fortement dans la vitre de la porte avant du côté droit. Salvador a ouvert la porte, et grande fut sa surprise de retrouver l’inconnu qui venait maintenant avec un autre individu semblable. Salvador les a fait entrer dans sa voiture et a parlé longuement avec eux.
Ces personnages ont dit venir de Vénus, et ils ont donné beaucoup d’explications sur cette planète. Ils ont dit qu’à Vénus les rues se prolongent à perte de vue, toutes sans dénivelé pour éviter des accidents. Sur Vénus, les véhicules ne consomment pas de
combustible végétal, ni minéral, car cela est préjudiciable pour les organismes.
Les Vénusiens utilisent l’énergie solaire pour propulser leurs véhicules. Ils ont dit que les trottoirs, les quais ne sont pas immobiles. Ils sont organisés en forme de bandes métalliques qui bougent et épargnent des efforts aux passants et les gens ne marchent jamais dans la boue, parce que le trottoir est métallique et conducteur de la force solaire avec laquelle tous les véhicules sont propulsés.
Les Vénusiens ont dit que dans leur monde il n’y a qu’une seule mer, mais elle est trois fois plus profonde que les nôtres.
Salvador a affirmé que selon nos sages terrestres, aucune planète ne peut avoir des habitants rationnels.
Les Vénusiens ont répondu : « Qu’est-ce qui vous fait penser une telle chose ? peut-être les moyens déficients dont vous disposez pour faire vos calculs ? ne croyez vous pas avoir beaucoup de prétention pour croire que vous êtes les uniques êtres qui peuplent
l’Univers ? »
Ces Vénusiens ont informé amplement Salvador de la vie sur Vénus. Ils ont dissipé ses doutes en lui expliquant qu’ils avaient créé sur Vénus, au moyen de systèmes scientifiques spéciaux, un climat artificiel uniforme et bénin en transformant comme ça leur monde en une demeure délicieuse.
Ils ont expliqué que, sur Vénus, les enfants ne traînent pas dans les rues, le gouvernement les contrôle jusqu’à ce qu’ils arrivent à l’âge adéquat, et à ce moment-là, il les classe en accord avec leurs qualités physiques et mentales et leur assigne un endroit
déterminé où ils seront utiles.
Ces Vénusiens ont expliqué que, de la mer, sortent tous les éléments nécessaires à la construction des bâtiments, à la confection des vêtements, à la fabrication des véhicules et à 60 % environ de la nourriture. Ils ont dit que ces bateaux peuvent même être dans
l’air aussi bien que dans l’eau, et que dans le fond de la mer existent de gigantesques usines chargées de sélectionner et d’utiliser scientifiquement les poissons pour la nourriture sans gaspillage.
Les Vénusiens ont affirmé qu’ici sur notre planète Terre restaient quelques-uns de leurs semblables habillés en civil, afin d’étudier l’humanité de notre planète. Ils disent que l’étape historique que nous, les terriens, sommes en train de traverser maintenant, ils
l’ont vécue déjà il y a quelques milliers d’années.
Eux aussi ont connu les guerres, les leaders astucieux de la politique, jusqu’à ce que, à la fin, soit née la fraternité. Aujourd’hui, ils n’ont pas de drapeaux, ils ont fait de leur monde une seule patrie, et sont gouvernés par des sages qui se limitent seulement à les
conseiller avec sagesse et amour.
Salvador a été invité par les Vénusiens à vérifier la réalité de ces affirmations. Il est sorti de la voiture à la suite de ces deux hommes, il est passé avec eux entre les montagnes et a trouvé un majestueux vaisseau en forme de sphère aplatie qui s’appuyait
sur 3 bouées qui formaient un triangle.
Salvador a dit que ce vaisseau avait, dans la partie supérieure, un câble légèrement incliné vers l’intérieur, à 1 mètre de hauteur, circulaire avec des trous qui ressemblent à des yeux de bœuf, comme ce qu’il y a dans les bateaux.
Pendant 5 jours, Salvador a habité sur la planète Vénus, et il est retourné sur Terre après avoir vérifié la réalité de toutes ces affirmations faites par les Vénusiens.
La civilisation vénusienne est plus avancée que la nôtre, orgueilleux terriens, de millions de fois.
Salvador raconta ce qu’il vécut. Nous nous limitons au commentaire. L’entreprise Philips a examiné des échantillons de terre et plantes ramassés à l’endroit où Salvador a trouvé le vaisseau et a découvert un désordre atomique très étrange dans ces échantillons.
Aussi, l’endroit fut-il photographié, car il y avait les empreintes du vaisseau. Le sage Adamski a fait une conférence sur ce thème dans le théâtre Insurgente au Mexique. Une commission allemande de scientifiques s’est intéressée à ce thème et ils sont allés rendre visite à Salvador. Ils ont étudié l’événement sur le terrain.
Il ne restait aucun doute. Mais les imbéciles continueront à rire comme toujours, parce que ce sont des imbéciles.
Ceci est le dessin donné par le VM Samaël comme l’authentique symbole de communication avec les vaisseaux spatiaux. Toutes les lignes et circonférences sont de couleur bleu clair, à l’exception du cercle central qui est de couleur or et tout le fond est
blanc.
Le Mantra est : Solin Sala Ra.
Ce chapitre est tiré de Les Vaisseaux Cosmiques (1955) par Samael Aun Weor.