Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : Le Chemin Étroit
En cette époque de crise mondiale, les inquiétudes scientifiques sont formidables.
Déjà, Morrison et Cocconi, d’éminents physiciens nord-américains, pensent que dans une partie quelconque de la voie lactée, il existe peut-être des sociétés scientifiques d’hommes extra-terrestres qui nous sont immensément supérieurs.
Ces physiciens croient qu’il est très possible que ces extra-terrestres veuillent entrer en communication avec nous, et ils ont même découvert que ces corporations cosmiques émettent des ondes dans notre direction, à une fréquence de 1 420 mégacycles par seconde.
La théorie de la pluralité des mondes habités commence maintenant à être comprise par les hommes de science.
Un argument parmi tant d’autres en faveur de cette théorie est le fait que certaines étoiles ont des vitesses angulaires faibles, tout comme le Soleil.
Tout homme de science a pu vérifier par l’observation et l’expérience, que la petitesse du moment angulaire d’un soleil quelconque accuse, indique ou dénote l’existence d’un système planétaire.
Les scientifiques commencent maintenant à comprendre que parmi ces millions de mondes de notre galaxie qui peuvent se trouver dans une situation semblable à la Terre en relation avec leur étoile, il est absurde d’écarter la possibilité que certains d’entre eux portent des civilisations immensément plus développées que la nôtre.
Les sages disent que cette possibilité peut et doit être examinée très attentivement.
Certaines nouvelles rapportent que le fameux scientifique Drake a l’intention d’étudier sérieusement la zone extrêmement intéressante de Séti et d’Éridan.
Cette étoile et cette constellation se trouvent à 11,4 années-lumière de nous, et ce sont les corps les plus proches de nous après la constellation du Centaure.
À partir de la formidable liste des astres les plus rapprochés qu’ont intelligemment élaborée Morrison et Cocconi, il est évident que Séti et Éridan, ainsi que la fameuse Indi, sont réellement les plus intéressantes, une fois que l’on a éliminé les étoiles doubles.
On a pu constater qu’en raison des perturbations très marquées que subissent leurs orbites, les planètes des étoiles doubles n’ont pas un climat qui soit uniforme pour de longues périodes géologiques.
Pour notre part, nous disons qu’il existe de nombreuses sociétés galactiques qui savent que ce moment que nous vivons est critique, et qu’elles veulent et désirent nous aider.
Sirius, le soleil des soleils de la voie lactée, est une étoile double. Le frère jumeau de Sirius est un monde noir d’une densité terrible et épouvantable.
L’influence vibratoire de l’étoile double Sirius est très étrange. Cette radiation est suprasolaire et infralunaire.
Par simple déduction logique, nous pouvons dire que la double radiation de Sirius a une influence décisive sur tous les supracieux et sur tous les infra-enfers de la voie lactée.
Bien qu’il soit certain que Sirius est le grand soleil de la voie lactée, il n’en est pas moins certain que son ténébreux frère jumeau a une densité étonnante, et même beaucoup plus qu’on ne pourrait le concevoir dans le cœur excessivement obscur de la lune la plus morte.
La double étoile Sirius est composée d’un immense soleil radiant vingt-six fois plus brillant que le nôtre, qui a une trajectoire circulaire dont la durée est de cinquante ans et qui tourne autour d’une naine blanche qui a la taille de Jupiter et qui est mille fois plus dense que le plomb.
On nous a dit que la voie lactée gravite autour de la double étoile Sirius. Cette double étoile semble combler, d’une certaine façon, la brèche excessive entre les cosmos du système solaire et la voie lactée.
La double étoile Sirius dénote une intense activité solaire et lunaire à l’intérieur de notre galaxie.
La double étoile Sirius a une influence décisive sur nous, ici et maintenant.
Se libérer de l’influence lunaire est une chose épouvantablement difficile, mais indispensable pour parvenir à la libération.
L’influence lunaire est double dans le monde où nous vivons, parce que la Terre a deux lunes.
À travers les télescopes, on voit la seconde lune d’une couleur noire et de la taille d’une lentille. Les occultistes ont donné à la lune noire le nom de Lilith ; ce second satellite lunaire est une espèce de huitième sphère submergée, un monde terriblement malin.
Les vibrations sinistres qui proviennent de la lune noire donnent lieu sur la terre à des monstruosités, à des abominations, à des crimes épouvantables remplis d’un sadisme répugnant, à une luxure inconcevable, à une homosexualité à grande échelle, à de la masturbation, de la sodomie, des avortements provoqués, etc.
Parmi les produits les plus abominables de Lilith, il est opportun de citer le cas du comte Dracula, en Russie.
Ce personnage de cinéma a réellement existé, et H.P. Blavatsky le mentionne dans une de ses œuvres.
La grande Maîtresse dit que ce comte était, à l’époque des tsars, le maire d’un village russe. Il détestait à mort sa femme, car les vampires sont homosexuels et haïssent à mort le sexe opposé.
Après sa mort, le comte Dracula se présentait dans la maison de la veuve détestée pour la frapper violemment. Certains prêtres catholiques tentèrent inutilement de lui bloquer le chemin ; le comte Dracula les renversa avec sa voiture sur un pont tout près du cimetière, à minuit.
Lorsqu’on ouvrit la noire et épouvantable sépulture du comte Dracula, on trouva son cadavre vivant très bien conservé et submergé dans du sang humain, car les vampires se nourrissent de sang.
La grande Maîtresse H.P. Blavatsky raconte que les pieds du sinistre cadavre étaient couverts de boue, ce qui démontre à satiété qu’il s’échappait du sépulcre au milieu de la nuit.
Le cas du comte Dracula prit fin lorsque les prêtres lui plantèrent un pieu dans le cœur.
En Palestine, il existe un ordre de vampires qui se cache sous le titre suivant : Ordre des gardiens immortels du saint sépulcre.
Les vampires sont le résultat de l’homosexualité combinée avec le tantrisme entre personnes du même sexe, monstruosité, abomination épouvantable !
La double influence lunaire, dans le monde où nous vivons, est terriblement mécaniste. Il est urgent de nous nourrir des pommes d’or et de la liqueur du Soma ou de la manne biblique pour fabriquer nos corps solaires et nous libérer des lois lunaires.
On nous a dit que notre soleil physique, comme le démontrent les chronologies brahmaniques, tourne autour d’un soleil infiniment plus grand et plus lumineux, si lumineux que pour cette raison précise, il est invisible aux yeux terrestres ; malgré cela, les théogonies antiques le mentionnent, et il s’agit d’un fait d’une rigueur mathématique indispensable.
Non seulement existe-t-il ce soleil équatorial ou astral, centre ignoré dont notre Soleil physique n’est qu’une simple planète, mais il existe de plus, dans des plans supérieurs ou hyperdimensions de l’espace céruléen, deux autres soleils encore plus éminents, que les calendriers tamils tels que le Tiruchanga et le Panchanga nomment respectivement le soleil polaire (ou centre galactique de toute notre nébuleuse et de ses cent mille soleils) et le soleil central (centre des centres, qui enlace et unifie toutes ces nébuleuses des millions et millions de soleils que l’on trouve à profusion dans le ciel).
Sous les yeux du mystique, le soleil astral ou équatorial brille ardemment, situé dans le groupe céleste que nous nommons les Pléiades, de la constellation du Taureau.
Sirius avec toute sa magnificence, centre de gravitation de la Voie lactée, doit graviter autour du soleil polaire.
L’ordre cosmique serait impossible sans le soleil central. La diversité est l’unité. Le soleil central unifie et gouverne, il établit l’unité à l’intérieur de la diversité infinie.
Ce chapitre est tiré de Le Chemin Étroit (1968) par Samael Aun Weor.