Écrit par : Samael Aun Weor Catégorie : La Révolution de Belzébuth
Je dédie ce livre aux hommes à la volonté d’acier, aux grands rebelles, aux aigles altiers, à ceux qui ne courbent jamais la tête sous la cravache d’aucun tyran, aux super hommes de l’humanité et aux grands pécheurs repentis, parce que d’eux sortira une race de Dieux.
Je sais trop que toute cette faune d’insensés, théosophes, rosicruciens et spiritistes de Colombie lanceront une fois de plus leurs diffamations contre le Maître de la Fraternité Universelle Blanche, Aun Weor, pour le seul fait d’être colombien, car c’est une terrible vérité que nul n’est prophète en sa terre.
Si quelqu’un vient d’Orient et qu’il parle anglais et sanscrit, toute cette faune de piétistes et bigots lui baisera les pieds, même s’il s’agit d’un imposteur ; mais, qu’en Colombie, il existe un Maître colombien, cela, non, les stupides du spiritualisme ne peuvent pas l’accepter et, remplis de colère, ils enfonceront définitivement les clous de sa croix à coups de marteaux et se gausseront du Maître, lui cracheront au visage, car c’est une terrible réalité que nul n’est prophète en sa terre.
Raison pour laquelle nous lisons, dans le verset 24, chapitre 4 du Nouveau Testament selon Saint-Luc ces paroles du Christ : « Mais, ajouta-t-il, je vous le dis en vérité, aucun prophète n’est bien reçu dans sa patrie. »
Ainsi donc, il n’y a rien d’étonnant à ce que les spiritualistes de Colombie eux-mêmes, essayent de me ridiculiser, car Jésus lui-même « rendait témoignage qu’un prophète n’est pas honoré dans sa propre patrie. » (Verset 44, chapitre 4 Nouveau Testament selon Saint-Jean).
Ce sublime message que moi, Aun Weor, je remets à l’humanité, sera inévitablement rejeté par la plupart des « puits de science » du Rosicrucianisme, du Théosophisme, du Spiritisme et même par certains groupes de castrés volitifs, remplis de tartufferie et de piétisme, tels que les dénommés Frères Hermétiques de Louxor, célèbres pour leur paresse mentale, les dénommés Martinistes, acolytes du mage noir Papus, les dénommés Bouddhistes libres, parmi lesquels abonde l’homosexualité. Les partisans de Max Heindel, fameux pour leur ignorance et les exploiteurs des distinctes religions du monde – c’est qu’il est terriblement réel, et vrai, que les lettres nombreuses corrompent.
On compte par milliers, les érudits du spiritualisme qui savent tout et ne savent rien ; ils discutent, ils polémiquent, ils argumentent et se déclarent propriétaires du savoir, mais dans le fond, ils ne sont rien que de pauvres insensés remplis de haine, remplis d’égoïsmes, remplis d’envie, d’intrigues et de rancœurs.
Or pour arriver à la Haute Initiation, on n’a pas besoin d’être érudits ; ce que cela requiert, est d’être parfait, comme notre Père qui est dans les cieux est parfait.
À la Haute Initiation, on n’arrive pas avec l’intellect, mais avec le cœur, et il existe de véritables Maîtres de la Fraternité Blanche qui ne savent pas même lire ni écrire, et pourtant ce sont de grands sages illuminés.
Le temps que perdent ces insensés des si fameuses écoles spiritualistes, en se remplissant la tête de théories et mysticismes morbides qui ne mènent à rien, ils devraient l’employer à corriger tous leurs défauts et à en finir avec toutes leurs tares mentales, car, au Golgotha de la Haute Initiation, seules montent les âmes au cœur pur et saint.
L’intellect n’arrive jamais à l’initiation. Au Golgotha de la Haute Initiation, seul arrive le « cœur ». La plupart des spiritistes, théosophes, rosicruciens, etc. sont désormais corrompus et ont la tête farcie de théories absurdes et de préjugés ancestraux, ils n’ouvrent le pas à rien de neuf. Quand notre livre intitulé « Le Mariage Parfait » entra en circulation, il n’y eut de spiritualiste de Colombie qui ne lançât contre nous l’infamie de ses critiques et c’est que les stupides n’étudient pas pour apprendre, mais pour critiquer.
Chaque école, société, loge spiritualiste a son « petit tyran » et son « petit cercle » d’insensés qui ne veulent rien de nouveau. Aucun « petit chef » ou petit tyran de « cours » ou loge, ne veut admettre quoi que ce soit qui puisse menacer l’existence et « l’affaire » de sa congrégation.
Dans peu de temps, les canons de la 3e Guerre Mondiale rugiront et alors, ceux qui se moquent aujourd’hui de Aun Weor auront à l’entendre. (Et de quelle horrible manière !)
« La Justice est la suprême piété et la suprême impiété de la Loi ».
Les Dieux jugèrent la Grande Prostituée (l’humanité) et considérèrent qu’elle était indigne. La sentence des Dieux est :
À l’abîme !
À l’abîme !
À l’abîme !
Hommes de l’Ère du Verseau ! Hommes du 21e siècle ! Hommes du 30e siècle, demeurez fermes dans la lumière, rappelez-vous que les hommes du 20e siècle furent des barbares et qu’eux-mêmes périrent et furent châtiés pour leurs méchancetés. Que ceci vous serve d’exemple pour que vous demeuriez fermes dans la foi du Christ.
Hommes du Verseau ! Hâtez votre chemin vers la lumière ; rachetez-vous et fusionnez avec votre Intime, avant que les mauvais du 20e siècle sortent de l’abîme. Un nouveau signe de ténèbres s’approche (Capricorne) et à vous, il incombe d’être alertes et vigilants car la terre sera nouvellement envahie par les « Ames-Démons » de l’âge noir qu’au 20e siècle, moi, Aun Weor, j’ai enfermées dans l’abîme, pour que vous ayez la félicité dont vous profitez en ce moment.
Hommes du Verseau ! C’est à vous spécialement que je dédie ce livre, que les barbares du 20e siècle ne comprirent pas. Hommes du 20e siècle, écoutez la parole de Jéhovah.
« Ainsi parle le Jéhovah (l’Éternel) des armées : c’est ainsi que je briserai ce peuple et cette cité (la civilisation actuelle), comme on brise un vase de potier sans qu’il puisse être restauré, et l’on enterrera les morts à Topheth (vallée de la Tuerie), par défaut de place pour enterrer » – Jérémie 19:11
Aun Weor
Ce chapitre est extrait de La Révolution de Belzébuth (1950) de Samaël Aun Weor.