Écrit par : Samael Aun Weor   Catégorie : La Révolution de la Dialectique

La colère annihile la capacité de penser et de résoudre les problèmes qui en sont l’origine. De toute évidence, la colère est une émotion négative.

Deux émotions négatives de colère confrontées n’obtiennent pas la paix ni la compréhension créatrice.

Incontestablement, chaque fois que nous projetons la colère sur un autre être humain, il se produit un écroulement de notre propre image et ceci n’est jamais convenable dans le monde des interrelations.

Les divers processus de colère conduisent l’être humain vers d’horribles échecs sociaux, économiques et psychologiques. Il est clair que la santé également est affectée par la colère.

Il y a certains idiots qui profitent de la colère pour se donner un certain air de supériorité. Dans ce cas, la colère se combine avec l’orgueil.

La colère a aussi l’habitude de se combiner avec l’arrogance et même l’autosuffisance. La bonté est une force beaucoup plus plaisante que la colère.

Une discussion coléreuse n’est qu’une excitation manquant de conviction. Quand nous sommes confrontés à la colère, nous devons décider, nous devons trouver quel type d’émotion nous convient le mieux.

La bonté et la compréhension sont meilleures que la colère. La bonté et la compréhension sont des émotions permanentes puisqu’elles peuvent vaincre la colère.

Celui qui se laisse contrôler par la colère détruit sa propre image. L’homme qui a un autocontrôle complet sera toujours au sommet.

La frustration, la peur, le doute et la culpabilité sont à l’origine des processus de la colère. La frustration, la peur, le doute et la culpabilité causent la colère.

Celui qui se libère de ces quatre émotions négatives dominera le monde. Accepter les passions négatives est quelque chose qui va contre l’auto-respect.

La colère est propre aux fous, ne sert à rien, nous conduit à la violence Le but de la violence est de nous conduire à la violence, ce qui engendre plus de violence.

Ce chapitre est tiré de La Révolution de la Dialectique (1983) de Samael Aun Weor.