Écrit par : Samael Aun Weor   Catégorie : La Révolution de la Dialectique

Seule la vie intensément vécue donne une sagesse durable ; mais le mental, qui est celui qui nous fait commettre les erreurs, nous empêche d’arriver à l’amphithéâtre de la Science Cosmique. Les erreurs du mental sont ces Moi ou défauts psychologiques que porte en lui l’animal intellectuel faussement appelé homme.

Les défauts psychologiques se trouvent dans les 49 niveaux du subconscient.

Les Moi ou Ego des 49 niveaux subconscients, nous ne pouvons les reconnaître ni les rencontrer, puisque chacun d’eux fait partie de nos différents corps. Pour cela, nous devons faire appel à une force supérieure au mental pour qu’elle les désintègre avec son feu serpentin, celle-ci étant notre Divine Mère Kundalini.

Seule la Mère Kundalini des mystères hindous connaît les 49 niveaux du subconscient.

Les défauts psychologiques étudiés ne font pas partie de notre Etre.

Après avoir étudié le défaut psychologique à travers la méditation, on supplie, durant la Sur-dynamique sexuelle, Ram-Io (la Mère Kundalini) de le désintégrer par la force sexuelle.

Au moyen de l’intellect et de la réflexion, nous ne pouvons pas arriver à voir un défaut dans le mental, là où ils sont tous enlisés, parce que nous ne connaissons pas les sept autres corps du mental où l’ego a sa tanière.

Le mental, l’intellect, la raison, toutes les formes plus subjectives avec lesquelles travaille l’être humain, ne pourront jamais arriver au niveau profond du subconscient où l’Ego développe continuellement ses films qui endorment notre conscience. Seule la Kundalini, avec son feu sexuel, peut arriver à ces 49 niveaux pour désintégrer définitivement ce qui nous cause de la douleur, ce qui nous maintient dans la misère, ce que les gens lamentablement aiment, ce que la psychologie matérialiste a cherché à déifier, ce qui s’appelle Ego et que la Révolution de la Dialectique veut détruire pour toujours, pour obtenir la Révolution Intégrale.

Ce chapitre est tiré de La Révolution de la Dialectique (1983) de Samael Aun Weor.