Écrit par : Samael Aun Weor   Catégorie : Les Vaisseaux Cosmiques

Nous avons parlé des disques volants pour la première fois en 1950. Nous avons alors révélé que les disques en question étaient en fait des vaisseaux cosmiques manipulés par des habitants d’autres planètes. En ce temps-là, la plupart des gens se moquaient de nos déclarations. Aujourd’hui, les événements nous ont donné raison.

Aux Etats-Unis, Il existe un département qui s’occupe exclusivement de l’investigation scientifique sur ces vaisseaux cosmiques. Ces vaisseaux ont parfois des accidents, les Etats-Unis détiennent des débris de plusieurs d’entre eux qui se sont écrasés ou qui ont violemment explosé en plein vol.

Nous ne cherchons pas à démontrer dans ce livre l’authenticité des vaisseaux interplanétaires, car celle-ci ne fait plus l’ombre d’un doute. Nous voulons tout simplement ajouter quelques commentaires à l’humanité en 1950, dans la première édition du Mariage Parfait.

Les vaisseaux cosmiques ont leur histoire et leurs traditions. Ils furent créés par des Anges, des Archanges et des Séraphins en chair et en os. De nombreuses traditions mentionnent Saint-Venon et son système de navigation cosmique; Saint-Venon est un ange en chair et en os. Il naquit sur la planète Soort, où il étudia toute sa vie la « Loi de la Chute ».

Voici donc, cher lecteur, la formule de Saint-Venon lui-même sur cette Loi cosmique :

« Toutes les choses de ce monde tombent vers le fond. Le fond de n’importe quel Univers, c’est sa stabilité la plus proche. Cette stabilité représente le lieu ou le point vers lequel convergent toutes les lignes de forces provenant de toutes les directions. Le centre de chaque soleil ou de toute planète de notre Univers est un point de stabilité vers lequel convergent les forces provenant de toutes les directions d’un espace circonvoisin donné. Ces points sont la source d’équilibre qui permet à toutes les Sphères célestes de maintenir leur position dans l’espace ».

Saint-Venon, lorsqu’il énonça son principe, ajouta que les choses qui tombaient n’importe où dans l’espace avaient tendance à chuter vers un soleil ou une planète appartenant à la portion d’espace relative à leur centre. Chaque planète ou soleil d’une sphère déterminée représente sa stabilité de fond.

Après de longues recherches, Saint-Venon utilisa cette particularité cosmique en l’appliquant au système de déplacement des vaisseaux cosmiques. Les vaisseaux de Saint-Venon se basaient sur la « Loi de la Chute ». L’atmosphère des planètes représentait le seul grave problème, car elle empêchait la chute droite des objets dans l’espace. Lorsqu’il eut résolu ce problème, Saint-Venon construisit de merveilleux vaisseaux. Nous éviterons de fatiguer le lecteur avec de longues explications techniques sur le mécanisme complexe de ces engins. Les travaux de Saint-Venon furent approuvés par une commission d’inspection dirigée par l’Archange Adossia.

Les vaisseaux de Saint-Venon, mûs par la force magnétique des mondes, se déplaçaient à de grandes vitesses. Il fallait cependant faire très attention lors de l’approche d’une planète ou d’un soleil. Il fallait faire de difficiles manSuvres pour éviter les catastrophes. Seul un petit nombre d’hommes-anges pouvaient piloter ces vaisseaux.

Le système de Saint-Venon, malgré ses difficultés, représenta une véritable révolution technique en son temps. Il remplaça tous les autres systèmes.

Après de nombreuses années d’activité cosmique, le système fut remplacé par celui de l’Archange Hariton. Ce dernier est un homme authentique en chair et en os. Les travaux fantastiques du Seigneur Hariton furent soumis à l’inspection du grand sage Adossia, Archange dans la hiérarchie.

La fabrication des vaisseaux cosmiques modernes se base sur les travaux d’Hariton. Le principe de cette technique est le « mouvement continu ». Des millions de vaisseaux cosmiques, aussi nombreux que les grains de sable des océans, voyagent à travers l’espace infini. Les vaisseaux interstellaires sont gigantesques. ILs abritent une flottille de petits vaisseaux qui à leur tour explorent les planètes des systèmes solaires. Cela fait penser par analogie aux grands paquebots transatlantiques et à leurs chaloupes de sauvetage.

Lorsqu’une humanité arrive à maturité, elle reçoit le droit de posséder des vaisseaux cosmiques. En principe, les êtres supérieurs aident les êtres inférieurs lorsqu’une humanité atteint un certain degré d’évolution, elle reçoit la visite d’autres humanités de l’espace, qui lui enseignent le procédé de fabrication et l’initient aux voyages cosmiques. A l’époque de 1’Atlantide, les vaisseaux atterrissaient aux « aéroports » de la ville de Samlios. Leurs équipages rendaient visite aux rois dirigeants et vivaient dans leur palais. Lorsque l’humanité se corrompit moralement, les habitants du Cosmos cessèrent de nous rendre visite.

Notre époque passe par une crise d’effondrement des valeurs spirituelles, et nous serons une fois de plus aidés par nos frères des autres mondes. Nous avons besoin d’aide, car nous sommes un échec et un grand cataclysme approche. L’humanité terrestre est arrivée à un point culminant de corruption et elle a un urgent besoin d’aide.

De nombreux habitants de la Terre ont été invités à faire des voyages sur d’autres planètes. Deux hommes de la république du Mexique furent emmenés sur Vénus. L’un d’eux vit actuellement à Jalisque, et l’autre à Mexico. Nous parlerons de ce dernier au chapitre suivant. Nous savons aussi qu’une personne du Brésil fut emmenée sur la planète Mars. Il n’y a pas de doute que prochainement, nous pourrons tous visiter les autres planètes de l’espace.

Nous sommes à la veille d’un grand cataclysme cosmique, et nous serons avertis avant la catastrophe. Les humanités fraternelles de l’espace essaieront de nous sauver. Elles pénètreront officiellement dans nos villes principales pour nous avertir du danger. Mais si nous continuons à faire exploser des bombes atomiques, si les guerres continuent et si nous ne mettons pas un terme aux vices de tous genres, la grande catastrophe sera inévitable.

Il est utile de savoir qu’un petit groupe de Lamas tibétains possède déjà plusieurs vaisseaux cosmiques, bien gardés dans un souterrain des Himalayas. Des habitants d’autres planètes se promènent dans las rues de nos villes et passent inaperçus. Ils étudient nos langues, nos coutumes et nos mSurs dans le but de nous aider. Nous serons aidés à grande échelle. Nous avons besoin d’aide, car l’humanité actuelle représente un échec total. De nos jours, de nombreux vaisseaux atterrissent dans la jungle du Brésil et au sud de l’Argentine dans ces aéroports secrets. Certains membres de leurs équipages restent parmi nous.

Ceux qui croient que nos visiteurs cosmiques viennent avec l’intention de nous envahir et de nous détruire commettent une grave erreur. Les frères de l’espace ne connaissent pas la perversité. Il est évident qu’ils possèdent des armes qui peuvent paralyser un homme. Ils sont bien armés et bien protégés et pratiquement invulnérables. S’ils avaient l’intention de dominer le monde, ils le feraient en quelques secondes. Ils pourraient même détruire notre planète en la faisant voler en éclats. Mais ils ne feront jamais cela, car ils ne sont pas destructeurs. Ils respectent profondément la vie et tout le contraire du terrien pervers. Nos frères visiteurs ne cherchent qu’à nous aider, et chacun de nous doit se préparer à les recevoir.

Des Habitants de Mars, de Vénus et de Mercure vivent dans nos grandes villes et nous étudient en secret. De nombreux auteurs s’imaginent que les habitants de l’espace ont une forme grotesque. Les traits généraux et les caractéristiques des hommes du cosmos sont semblables à ceux de l’être humain, pour ne pas dire plus beaux et plus parfaits.

Nous connaissons personnellement quelqu’un de Mexico qui fit un voyage aller-retour à Vénus. Nous eûmes un jour le grand plaisir de lui rendre visite, nous fûmes cordialement reçus par sa famille. Cette personne n’est ni occultiste, ni spiritiste, et ne cherche pas à se faire passer pour un sage. C’est un homme simple, humble et bon, et l’aventure extraordinaire qu’il a vécue ne l’a pas rendu orgueilleux.

Voici donc le résumé de cette aventure, dont nous allons tâcher d’extraire la synthèse.

Ce chapitre est tiré de Les Vaisseaux Cosmiques (1955) par Samael Aun Weor.

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